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L’Europe sombre dans les ténèbres du paganisme. Sous couvert de liberté individuelle, sont promues des valeurs qui ne respectent plus la vie. Moloch, dieu antique de la mort et du sacrifice, lutte contre le Seigneur de la vie, Jésus-Christ, pour conquérir les âmes de notre vieux continent. Tel le Minotaure emportant la princesse Europê sur son dos, le culte de l’Homme divinisé et sa sacro-sainte liberté chevauche la bête immonde de l’égoïsme et de l’horreur.
Le merveilleux livre biblique des Proverbes, qui oppose constamment la folie et la sagesse, nous servira de base pour illustrer notre propos.
Moloch dans la Bible
Bien que nous le traduisions Moloch, le mot hébreu ne comporte pas de voyelle et certains l’assimilent au mot « melek » ( »melchi »), qui signifie « roi ». Il a également été traduit dans la version grecque des Septantes par « Aquilas (qui signifie « aigle »). Moloch était représenté comme un homme à tête monstreuse de taureau, sur les bras duquel on déposait la personnes qui allaient être sacrifiées, par le feu essentiellement. Sous la plume de Moïse dans le Lévitique, Dieu interdit explicitement son culte (Lév. 18 et 20), et il est intéressant de voir qu’il est cité au milieu d’abominations sexuelles.
Les chrétiens et la pratique de la crémation
Il est en effet une pratique qui se répand de plus en plus dans les milieux chrétiens, vraisemblablement par mimétisme et pour suivre la mode « écologiste »: c’est celle de la crémation, qui consiste à brûler le corps des défunts. Pourtant, Dieu dans Sa Parole nous dit que, de poussière, nous devrons retourner à la poussière. Un rapide examen des origines de cet usage funéraire nous montre que toutes les religions païennes, orientales ou animistes, le pratiquent. C’est pour se distinguer d’elles que Juifs et plus tard les chrétiens s’affirmaient en mettant en terre leurs morts, face aux nations qui croyaient en la vertu purificatrice du fait… de faire passer le défunt par le feu de Moloch. Les chrétiens devraient y réfléchir à 2 fois avant de choisir cette option. Certes, ce n’est pas le fait d’être réduit en cendres qui pourrait les empêcher de ressusciter au Dernier Jour, mais néanmoins, il y a là un glissement à souligner…
La culture de la mort contre le judéo- christianisme
Il n’existe que 2 sources de puissance sur cette terre: celle de Dieu et celle du diable. En dépit des apparences, et de l’orgueil des proclamations et des luttes qui se livrent dans son camp, les suppots du diable sont tous unis par un point commun: ils sont utilisés par lui. Ainsi, des doctrines diamétralement opposées en apparence, des personnes se réclamant de philosophie contraires, voire antagonistes, se retrouvent parfois malgré elle à servir le même but. Comme Hérode et Pilate devinrent amis, d’ennemis qu’ils étaient, pour mettre à mort le saint et le juste, ainsi les serviteurs du diable se liguent-ils pour faire front commun contre les valeurs de la Bible, et ceux qui les portent, les chrétiens et les juifs. Puisant ses « ressources humaines » dans le socle de l’Humanisme et de sectes diverses, Moloch assure la promotion de ses idées.
L’antisémitisme
Ainsi l’alliance des Verts, des anarchistes, des gauchistes et de l’extrême-droite manifestait une sorte d’union sacrée contre Israël. Mais les milieux chrétiens ne sont pas en reste. Comme nous l’avons déjà dit à propos des mouvements prophétiques (mais pas seulement), il est une doctrine qui est proche de celle de la négation de l’Enlèvement: c’est la doctrine de la substitution. Israël terrestre n’est pas Israël, c’est l’Eglise qui l’est. Et cette doctrine donne lieu à tous les excès vengeurs. Il suffit de lire en Poche une , pour voir que les mensonges d’aujourd’hui ne sont guère différents des mensonges d’hier. Leur jalousie excitée, les hommes chargeaient les Juifs de tous les maux pour justifier pogroms et pillages des biens juifs, qui prospéraient quand la société était en crise. L’arme la plus fréquente utilisée contre les Juifs est le mensonge et l’amalgame (voir cette vidéo où des manifestants tentent d’empêcher un concert au profit de Tsahal, l’armée israélienne). Il en va exactement de même des mensonges proférés contre les chrétiens.
Le mensonge généralisé et la propagande
Comme Dieu a ses apôtres qui répandent la Bonne Nouvelle, le mensonge a également ses prophètes accrédités. Il existe, pour violer la souveraineté de l’Homme et l’amener à baisser la garde pour accepter des choses qu’il n’accepterait pas en temps normal, plusieurs moyens. Le traumatisme en est un, et nous en parlerons plus loin, mais parlons maintenant du mensonge. Toute dissimulation de fait, toute présentation partielle de la vérité sont des mensonges. Et pour prendre d’assaut la citadelle de l’âme humaine, pour induire l’esprit humain en erreur, il convient aux puissances qui saturent les airs d’opérer de façon systématique. Les puissances du « monde » montant à l’assaut des portes de l’âme humaine tentent essentiellement de pénètrer, comme le dit l’apôtre Jean (1 Jean 2) par la convoitise, qui est l’action désirer ce qu’on voit. Pour bien maîtriser sa « communication », Moloch s’assure le soutien de tous les médias, et sa propagande est de plus en plus évidente, comme nous verrons plus loin. Les médias sont donc les moyens par lesquels les idées véhiculées par les esprits des airs pénètrent dans les hommes, consciemment, ou par le mensonge. Voici la liste des principaux médias de « masses »: presse, édition, radio, télévision, affichage public, et maintenant Internet. Il convient, pour imposer le « verrou » du lavage de cerveau et de la pensée unique, de maîtriser tous ces canaux et de filtrer tout ce qui y est distillé. Les stratégies de Moloch, qui visent l’aliénation de l’individu, ne nécessitent pas d’explication claire, d’exposé précis de causes et d’effets, de vérités compréhensibles. Il utilise pour « convaincre » des armes assez rudimentaires, mais qui ont depuis des millénaires fait leurs preuves: pourquoi en changer? Ses armes sont: la fausse rumeur, la violence, la terreur, la menace, les insinuations, le mensonge, l’intimidation, etc. qui n’ont d’autre but que de détourner de la vérité en suscitant la crainte, l’indifférence, le rejet ou la haine. Comme ses vérités n’ont pas besoin d’être comprises, mais seulement crues, Moloch provoque par le canal des médias un afflux massif d’émotions, souvent contraires, dont le but est de court-circuiter la raison et l’analyse logique. Il est d’ailleurs un ennemi de l’analyse approfondie et déteste la méditation de la Parole de Dieu qui affirme que « Celui qui réfléchit sur les choses trouve le bonheur ». Une fois qu’il contrôle les canaux des médias, et qu’il a bien façonné son « opinion », Moloch peut au grand jour servir les plus énormes mensonges qui, ainsi que le disait le conseiller en communication d’Hitler, sont d’autant mieux crus qu’ils sont énormes. L’exemple tout récent de la fabrication d’un saint musulman, à partir d’un assassin de femmes, d’enfants et d’hommes innocents, sur notre terre de France parle de lui-même (je parle ici du terroriste palestinien Yasser Arafat, dont l’annonce de la mort, en France, coïncida assez étrangement avec une date importante du calendrier religieux musulman).
L’islam fanatique, glorification de la mort
Car c’est en effet un des pièges subtils de Moloch que de présenter des vérités à l’homme pour que celui-ci s’en satisfasse, sans pour autant que ces vérités ne le rendent libre. Seules les paroles de Jésus-Christ, ses promesses merveilleuses, rendent libres tous ceux qui « par crainte de la mort, restent toute leur vie dans l’esclavage ». L’Islam fait partie de ces mensonges et il lui faut des sacrifices, ainsi que me le disait une soeur hier. L’Islam a tordu la Bible et imposé son mensonge à la place, notamment en matière de sacrifice: il prétend que c’est Ismaël qu’Isaac aurait sacrifié au mont Horeb, et il affirme que Christ n’a pas été crucifié, mais un autre à sa place. Le sacrifice expiatoire de l’Agneau de Dieu est nié, et chaque année, la génocide des moutons est perpétré en mémoire… d’un mensonge fondateur. Le terreau de cette religion est naturellement fertile en mensonges, en pratiques occultes, et en sacrifices humains. C’est en effet l’Islam qui fait l’apologie du martyre, et la marque de Moloch se voit clairement: meurtre en série d’innocents pour une « cause », mensonges et désinformation, impureté sexuelle machiste dans « l’au delà », etc.
La pénétration « culturelle » de l’occulte « cultuel »
Le front uni de Moloch contre le judéo-christianisme importe dans notre France et notre Europe les démons de l’Orient, de l’Afrique, de partout dans le monde, sous un seul emballage: la CULTURE. Moloch et son associé Mamon (voir plus loin) ne reculent devant rien pour démoniser notre société. Ils recyclent les démons de la forêt Scandinave sous les traits du… Père Noël. La sorcellerie s’installe via la fête des morts et « Haloween ». Tous les esprits du druidisme Celte campent sur nos territoires aux alentours de la Saint-Patrick et même au-delà. Une commémoration de l’année de la Chine permet la convocation des démons de l’Extrême Orient, sous couvert de diversité culturelle. La laïcité est plus qu’un projet de société, c’est une religion.
Dans la poubelle d’une clinique, un foetus de 8 semaines
L’avortement, négation de la vie
La libération de la femme du joug judéo-chrétien va de pair avec la mort d’enfants à naître. Pour s’émanciper, la civilisation de la force brutale sacrifie à Moloch des enfants par millions. Depuis la loi Veil en effet, au nom de la liberté des forts, environ 5 millions de faibles enfants à naître ont été immolés sur les autels asseptisés de nos hôpitaux. Un récent procès intenté par une femme enceinte, victime d’un accident, et dont l’enfant n’a pu être sauvé, a révélé l’hypocrisie du système de Moloch, qui n’a pu se dévoiler: le foetus n’a pas d’existence juridique, pas de droits. Les juges n’ont pu se déterminer sur le sort à réserver à celui qui, jusqu’à 12 semaines, peut-être mis à mort in utero. S’ils lui avaient accordé une existence « légale », il aurait eu alors le droit d’être défendu, et cela aurait supposé la remise en question du droit des forts à mettre à mort ce « gêneur », le faible enfant à naître.
Le clonage « pour les pièces »
De toute façon, dans une perspective matérialiste et mécanique, l’embryon n’est qu’une masse de chair sans âme, sans esprit. Il est tout à fait loisible à l’individu de posséder dans quelque obscur frigo un double de lui-même « pour les pièces de rechange ». La recherche généthique permettra d’ailleurs à terme d’éliminer les faibles, d’épurer la race – et Raël ou le Dr Moreau ne sont pas les seuls à le croire. L’argent levé par des impôts indirects comme le Téléthon, institué depuis une vingtaine d’années, s’il sert à financer la recherche généthique, permet de plus rapidement diagnostiquer les enfants « à problème » et de pratiquer sur eux l’eugénisme…
L’euthanasie et le suicide, glorification de la mort
La maladie et la soufrance sont des signaux émis par notre corps pour nous signaler un dysfonctionnement. Ainsi, Dieu les utilise pour attirer notre attention, pour détourner notre regard des choses passagères pour les tourner vers les réalités éternelles. L’homme n’a de cesse de se divertir, de se tourner vers l’extérieur, pour ne pas se convertir, se tourner vers l’intérieur. Comme le disait le grand mathématicien janséniste Blaise Pascal, tout le malheur de l’homme vient de ce qu’il ne sait pas rester un instant dans le silence. Il se prend en haine ((in odiare) lui-même, comme l’indique la racine latine du mot « ennui ». Ainsi, la suprême imbécilité, le suprême piez-de-nez à son Créateur consiste en la mise à mort de son dernier capital: sa vie. Notre monde aveuglé par les ténèbres du péché considère comme des dieux et des héros ceux qui ont choisi cet acte de « liberté suprême ». Le monde du rock, des arts, de la politique et du spectacle en sont remplis. Plus ces artistes ont eu une vie dissolue, plus loin ils sont allés dans leur flirt avec l’abjection et les ténèbres, plus fort est le culte qui leur est voué. Rappelons-le, la vie humaine est sacrée, de la conception à la mort, et seul Dieu doit être le maître du moment ultime de notre rencontre avec Lui (lire également ceci).
L’homosexualité et le masochisme, glorification de la mort
Avant de commencer, je voudrais que les provocateurs et les activistes « gays » considèrent qu’ils ont sur leurs canaux la liberté de dire ce qu’ils veulent, et au nom de ma liberté, je voudrais rappeler certains faits, non pour inciter à la haine, mais pour expliquer un point de vue, qu’il faut respecter puisque la république, c’est la vie ensemble ! Que cela soit dit, nous sommes contre l’homosexualité, mais nous aimons les homosexuels. Donc la base de la fécondité et du renouvellement de la société, c’est la structure familiale, un papa et une maman, et des enfants. La sexualité est un don merveilleux et les fonctions du corps sont claires. Deux hommes couchant ensemble pratiquent une négation de l’acte qui consiste à donner la vie, puisqu’ils mettent leur sexe(pardonnez-moi d’être cru), dans l’endroit d’où sortent les déjections, les rejets du corps. Cette pratique, anomalie de la nature, s’accompagne souvent de pratiques masochistes et il suffit de regarder les défilés dits de la « fierté gaie » (gay pride) pour s’en rendre compte: déguisements sado-masochistes, hommes habillés en femmes-objet, en boucs, en démons, etc. Comme disait très clairement l’apôtre Paul: « Ils mettent leur gloire dans ce qui devrait faire leur honte… »
La psychologie, terrain de jeu favori des démons
La psychologie nie l’existence des démons, en tant que tels: pour elle, ils ne sont pas des personnes. Elle se fait un dieu d’une chose: son libre arbitre, et elle est au service d’une seule cause, le bonheur personnel. Cette négation de la crucifixion du Moi (oui, puisque cette science passe son temps à le guérir, alors que Dieu l’a examiné, jugé, condamné et exécuté avec Christ !) et cet aveuglement sur les réalités démoniaques ouvrent toutes grandes les portes de l’enfer. Ainsi que le disait Baudelaire, « le plus grand mensonge du diable c’est de faire croire qu’il n’existe pas ». Je me souviens du thérapeute qui voulait s’occuper de mon aîné. Il avait au-dessus de sa tête un tableau de Paul Klee intitulé « Cartomancy ». Je me suis laissé bercer par ses discours et nous avons laissé la thérapie commencer, mais nous l’avons vite regretter: nous aurions dû être attentifs à ce petit « signe », qui n’en était pas un, mais qui était une marque de l’esprit sous lequel il se trouvait, car en effet les méthodes et le jargon employés renvoyaient tous à l’occulte – bien sûr, débarrassé de ses « démons », car nous ne sommes plus au Moyen-Age. Mais chers amis, les démons existent, et ils sont sous vos pieds, au Nom de Jésus-Christ. Quand en avez-vous chassé un pour la dernière fois?
Mamon et Moloch
On a coutume de faire un idole de notre « république », et de la liberté qu’elle propose. Pourtant, ce système héritier du monde gréco-romain, érige en dogme les différences sociales. Celui qui travaille « de la tête » est grassement payé tandis que celui qui travaille seulement « de ses mains » ou accomplit des taches subalternes est payé au SMIC. C’est une forme moderne d’esclavage qui reste à l’image des privilèges accordés aux citoyens de la Rome antique: 100 000 citoyens servis… par 6 millions d’esclaves, c’était cela Rome, il ne faut pas l’oublier. Ainsi, Moloch est l’allié de Mamon pour aliéner les hommes, pour les asservir toute une vie dans la misère pendant que d’autres jouissent d’une liberté fictive. Notre République s’est faite « Providence » et elle… pourvoit aux besoins de ses sujets, dont elle a prélevé des dîmes ou impôts. Mamon pénètre partout et il veut même maintenant conditionner la grâce de Dieu dans les réunions chrétiennes ! La discrimination par l’argent est pratiquée en toute impunité même à l’entrée de réunions de miracles et d’évangélisation: nous avons là une marque de l’endurcissement et de l’obscurcissement des consciences. Au lieu d’oeuvrer par la foi et de s’humilier devant Dieu, les responsables de ces modernes conventions passeront des heures à vous justifier de leurs actes, vous présentant leur ticket de caisse et leur note de frais – à mon avis à la plus grande honte de la cause de l’Evangile, et en tous cas au mépris de la Parole de Dieu.
Le rock dans l’église
Au service du Moi et du plaisir, caressant de sons agréables et de rythmes lascifs, la musique rock a pénétré dans nos milieux. A tel point que nous la tolérons. Je ne dis pas qu’elle est mauvaise, je dis qu’elle véhicule des esprits, ou des messages si vous préférez. Cela va au-delà des « blue notes », des sons mélancoliques du blues. Cela va au-delà des sons modérément bestiaux et de la basse lourde et monocorde du hardcore « soft ». Cela va au-delà du magnétisme hypnotique provoqué par le tempo binaire. Staline disait « Avec le rock et la révolution sexuelle, nous allons afaiblir l’Occident ». Il y a presque réussi… Le message de la musique n’est pas dans ce qu’elle dit, mais dans ce qu’elle est: elle prend désormais à certains endroits… la place de Dieu. Au lieu de parler dans le silence, il semble que Dieu doive parler dans le brouhaha d’une ambiance surchauffée. David Wilkerson disait: « Il est possible de voir des gens louer Dieu et lever les mains, et cependant que Christ marche parmi eux comme un étranger… » Le risque est là: nos jeunes en sont remplis, leurs idoles ornent les murs de leurs chambres ou de leurs coeurs. Ils marchent main dans la main avec Mamon, se vende à qui les prendra et rêvent de talent et de succès: quel trésor ont-ils dans le Ciel?
La Reine du Ciel
Je pense que nous pouvons sans crainte de nous tromper établir un lien entre Marie, la « Reine du Ciel », et l’émasculation des hommes via les mouvements féministes. De même, nous pouvons établir un lien entre cette divinité étrangère à la Bible et la dépression (décrite magistralement dans Deutéronome 28 comme la conséquence de la séparation d’avec Dieu). Je vous en ai déjà parlé: alors qu’une nuit de 1996 je rédigeais un document sur « Marie », mon épouse fit un drôle de rêve. Elle voyait une carte de France avec une grande grille tendue dessus. Sous cette grille, des gens écrasés criaient. A chaque coin, des démons maintenaient cette grille tendue. Ces démons avaient pour nom « alcoolisme », ou « dépression », « suicide », etc. Et posé sur la grille était un démon bien plus grand, pesant de tout son poids sur les gens qui criaient: son nom était « Marie ». Je n’irai pas plus loin car nous avons abondamment parlé à plusieurs reprises de ce qu’en dit la Bible (notamment ici, ici et ici, mais je dirai une seule chose: les religions à mystères de l’antiquité n’ont de cesse de détourner les âmes de la simplicité des paroles et de l’enseignement du Christ. Une grande déesse et un petit Jésus, une déesse compréhensive et un Jésus courroucé: tout cela est diamétralement à l’opposé de l’esprit du Nouveau Testament, que je vous invite sans délai à lire pour comparer avec la nourriture que vous donne à manger votre religion… N’ayez pas peur de la liberté ! N’ayez pas peur de tout dire à Jésus !
Conclusion
La culture de la mort tente de tout infiltrer, mais nous, chrétiens, n’ayons pas la mentalité défaitiste. Tenons-nous debout et faisons encore une fois la différence dans notre siècle. Proclamons la Vérité de Dieu et de Sa Parole, préchons l’Evangile et libérons les captifs des chaînes de ténèbres. Notre Dieu est le Dieu de la vie et de l’amour: Il tient le monde entier dans Ses mains, et le sort de chaque individu, petit ou grand, même l’avorton, tous Lui sont chers: face aux amants de la mort, préchons l’Evangile de la VIE et, voyant les écluses des cieux s’ouvrir, nous ne serons pas autant en soucis de voir l’enfer vomir tous ses démons ! Encore un peu de temps et Celui qui doit venir viendra !
Nicolas ><>
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pourrait tu donner plus d information sur ce "saint musulman" assassin de femmes en France
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Toute la gloire à Notre Sauveur et Seigneur Jésus……..merci pour ces écrits pleins de vérités
un frère
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Absolument pitoyable, un ramassis d’inepties pathétiques.
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ouah…Gloire à Dieu car Il a arraché les clés de la mort et en lui nous sommes vivants ! Je sais que mon Dieu est plus grand que celui qui sévit dans le monde. Et je sais qu’un jour tout oeil verra la gloire du Dieu très haut !!
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Bonjour Danil,
La lecture de ce texte vous a blessé, car malheureusement vous l’avez lu en fonction de votre profonde croyance, en quelque sorte au travers de votre vision de l’Evangile. Vous vous trompez totalement concernant Monsieur Nicolas Ciarapica.
Que dit la Parole concernant la Vierge Marie ? Version Segond révisée, 1989.
Evangile de Luc, chapitre 1, dès le verset 26: Annonce de la naissance de Jésus.
Au sixième mois, l’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth,
1 : 27 auprès d’une vierge fiancée à un homme de la maison de David, nommé Joseph. Le nom de la vierge était Marie.
1 : 28 L’ange entra chez elle, et dit : Je te salue , toi à qui une grâce a été faite ; le Seigneur est avec toi.
1 : 29 Troublée par cette parole, Marie se demandait ce que pouvait signifier une telle salutation.
1 : 30 L’ange lui dit : Ne crains point, Marie; car tu as trouvé grâce devant Dieu.
1 : 31 Et voici , tu deviendras enceinte , et tu enfanteras un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus.
1 : 32 Il sera grand et sera appelé Fils du Très-Haut , et le Seigneur Dieu lui donnera le trône de David, son père .
1 : 33 Il régnera sur la maison de Jacob éternellement , et son règne n’aura point de fin.
1 : 34 Marie dit à l’ange : Comment cela se fera-t-il , puisque je ne connais point d’homme ?
1 : 35 L’ange lui répondit : Le Saint-Esprit viendra sur toi, et la puissance du Très-Haut te couvrira de son ombre . C’est pourquoi le saint enfant qui naîtra de toi sera appelé Fils de Dieu.
1 : 36 Voici , Elisabeth, ta parente, a conçu , elle aussi , un fils en sa vieillesse, et celle qui était appelée stérile est dans son sixième mois.
1 : 37 Car rien n’est impossible à Dieu.
1 : 38 Marie dit : Je suis la servante du Seigneur; qu’il me soit fait selon ta parole ! Et l’ange la quitta .
1 : 39 Dans ce même temps, Marie se leva , et s’en alla en hâte vers les montagnes, dans une ville de Juda .
1 : 40 Elle entra dans la maison de Zacharie, et salua Elisabeth.
1 : 41 Dès qu’Elisabeth entendit la salutation de Marie , son enfant tressaillit dans son sein, et elle fut remplie du Saint-Esprit.
1 : 42 Elle s’écria d’une voix forte : Tu es bénie entre les femmes, et le fruit de ton sein est béni .
1 : 43 Comment m’est-il accordé que la mère de mon Seigneur vienne auprès de moi ?
1 : 44 Car voici , aussitôt que la voix de ta salutation a frappé mon oreille, l’enfant a tressailli d’allégresse dans mon sein.
1 : 45 Heureuse celle qui a cru , parce que les choses qui lui ont été dites de la part du Seigneur auront leur accomplissement.
1 : 46 Et Marie dit : Mon âme exalte le Seigneur,
1 : 47 Et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur ,
1 : 48 Parce qu’il a jeté les yeux sur la bassesse de sa servante. Car voici , désormais toutes les générations me diront bienheureuse ,
1 : 49 Parce que le Tout-Puissant a fait pour moi de grandes choses. Son nom est saint,
1 : 50 Et sa miséricorde s’étend d’âge en âge Sur ceux qui le craignent .
1 : 51 Il a déployé la force de son bras; Il a dispersé ceux qui avaient dans le coeur des pensées orgueilleuses.
1 : 52 Il a renversé les puissants de leurs trônes, Et il a élevé les humbles.
1 : 53 Il a rassasié de biens les affamés , Et il a renvoyé les riches à vide.
1 : 54 Il a secouru Israël, son serviteur, Et il s’est souvenu de sa miséricorde,-
1 : 55 Comme il l’avait dit à nos pères,-Envers Abraham et sa postérité pour toujours.
1 : 56 Marie demeura avec Elisabeth environ trois mois . Puis elle retourna chez elle .
Dans l’Evangile de Matthieu nous lisons que Joseph a été averti par un ange. Chapitre 1, dès le verset 18
Voici de quelle manière arriva la naissance de Jésus-Christ. Marie, sa mère, ayant été fiancée à Joseph, se trouva enceinte , par la vertu du Saint-Esprit, avant qu’ils eussent habité ensemble .
1 : 19 Joseph, son époux, qui était un homme de bien et qui ne voulait pas la diffamer , se proposa de rompre secrètement avec elle.
1 : 20 Comme il y pensait , voici , un ange du Seigneur lui apparut en songe, et dit : Joseph, fils de David, ne crains pas de prendre avec toi Marie, ta femme, car l’enfant qu’elle a conçu vient du Saint-Esprit;
1 : 21 elle enfantera un fils, et tu lui donneras le nom de Jésus; c’est lui qui sauvera son peuple de ses péchés.
1 : 22 Tout cela arriva afin que s’accomplît ce que le Seigneur avait annoncé par le prophète :
1 : 23 Voici , la vierge sera enceinte , elle enfantera un fils, et on lui donnera le nom d’Emmanuel, ce qui signifie Dieu avec nous.
1 : 24 Joseph s’étant réveillé fit ce que l’ange du Seigneur lui avait ordonné , et il prit sa femme avec lui.
1 : 25 Mais il ne la connut point jusqu’à ce qu’elle eût enfanté un fils, auquel il donna le nom de Jésus.
Matthieu, chapitre 12, dès le verset 46 Comme Jésus s’adressait encore à la foule, voici , sa mère et ses frères, qui étaient dehors, cherchèrent à lui parler .
12 : 47 Quelqu’un lui dit : Voici , ta mère et tes frères sont dehors, et ils cherchent à te parler .
12 : 48 Mais Jésus répondit à celui qui le lui disait : Qui est ma mère, et qui sont mes frères ?
12 : 49 Puis, étendant la main sur ses disciples, il dit : Voici ma mère et mes frères.
12 : 50 Car, quiconque fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux, celui-là est mon frère, et ma soeur, et ma mère.
Matthieu, chapitre 13, dès le verset 54
S’étant rendu dans sa patrie, il enseignait dans la synagogue, de sorte que ceux qui l’entendirent étaient étonnés et disaient : D’où lui viennent cette sagesse et ces miracles ?
13 : 55 N’est -ce pas le fils du charpentier ? n’est-ce pas Marie qui est sa mère ? Jacques, Joseph, Simon et Jude, ne sont-ils pas ses frères ?
13 : 56 et ses soeurs ne sont-elles pas toutes parmi nous ? D’où lui viennent donc toutes ces choses ?
13 : 57 Et il était pour eux une occasion de chute . Mais Jésus leur dit : Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie et dans sa maison.
13 : 58 Et il ne fit pas beaucoup de miracles dans ce lieu, à cause de leur incrédulité.
Marc, chapitre 3, dès le verset 1 Jésus partit de là, et se rendit dans sa patrie. Ses disciples le suivirent .
6 : 2 Quand le sabbat fut venu , il se mit à enseigner dans la synagogue. Beaucoup de gens qui l’entendirent étaient étonnés et disaient : D’où lui viennent ces choses ? Quelle est cette sagesse qui lui a été donnée , et comment de tels miracles se font-ils par ses mains ?
6 : 3 N’est -ce pas le charpentier, le fils de Marie, le frère de Jacques, de Joses, de Jude et de Simon ? et ses soeurs ne sont-elles pas ici parmi nous ? Et il était pour eux une occasion de chute .
6 : 4 Mais Jésus leur dit : Un prophète n’est méprisé que dans sa patrie, parmi ses parents, et dans sa maison.
6 : 5 Il ne put faire là aucun miracle, si ce n’est qu’il imposa les mains à quelques malades et les guérit .
6 : 6 Et il s’étonnait de leur incrédulité. Jésus parcourait les villages d’alentour, en enseignant .
Revenons à l’Evangile de Luc et lisons ce que les anges disent de Jésus. Chapitre 2, dès le verset 8 Il y avait , dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les veilles de la nuit pour garder leurs troupeaux.
2 : 9 Et voici , un ange du Seigneur leur apparut , et la gloire du Seigneur resplendit autour d’eux. Ils furent saisis d’une grande frayeur.
2 : 10 Mais l’ange leur dit : Ne craignez point; car je vous annonce une bonne nouvelle , qui sera pour tout le peuple le sujet d’une grande joie :
2 : 11 c’est qu’aujourd’hui, dans la ville de David, il vous est né un Sauveur, qui est le Christ, le Seigneur.
2 : 12 Et voici à quel signe vous le reconnaîtrez : vous trouverez un enfant emmailloté et couché dans une crèche.
2 : 13 Et soudain il se joignit à l’ange une multitude de l’armée céleste, louant Dieu et disant :
2 : 14 Gloire à Dieu dans les lieux très hauts, Et paix sur la terre parmi les hommes qu’il agrée !
2 : 15 Lorsque les anges les eurent quittés pour retourner au ciel, les bergers se dirent les uns aux autres : Allons jusqu’à Bethléhem, et voyons ce qui est arrivé , ce que le Seigneur nous a fait connaître .
2 : 16 Ils y allèrent en hâte , et ils trouvèrent Marie et Joseph, et le petit enfant couché dans la crèche.
2 : 17 Après l’avoir vu , ils racontèrent ce qui leur avait été dit au sujet de ce petit enfant.
2 : 18 Tous ceux qui les entendirent furent dans l’étonnement de ce que leur disaient les bergers .
2 : 19 Marie gardait toutes ces choses , et les repassait dans son coeur.
Plus loin, dès le verset 25 Et voici , il y avait à Jérusalem un homme appelé Siméon. Cet homme était juste et pieux, il attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit-Saint était sur lui.
2 : 26 Il avait été divinement averti par le Saint-Esprit qu’il ne mourrait point avant d’avoir vu le Christ du Seigneur.
2 : 27 Il vint au temple, poussé par l’Esprit. Et, comme les parents apportaient le petit enfant Jésus pour accomplir à son égard ce qu’ordonnait la loi,
2 : 28 il le reçut dans ses bras, bénit Dieu, et dit :
2 : 29 Maintenant, Seigneur, tu laisses ton serviteur S’en aller en paix, selon ta parole.
2 : 30 Car mes yeux ont vu ton salut,
2 : 31 Salut que tu as préparé devant tous les peuples,
2 : 32 Lumière pour éclairer les nations, Et gloire d’Israël, ton peuple.
2 : 33 Son père et sa mère étaient dans l’admiration des choses qu’on disait de lui.
2 : 34 Siméon les bénit , et dit à Marie , sa mère : Voici , cet enfant est destiné à amener la chute et le relèvement de plusieurs en Israël, et à devenir un signe qui provoquera la contradiction ,
2 : 35 et à toi-même une épée te transpercera l’âme, afin que les pensées de beaucoup de coeurs soient dévoilées .
2 : 36 Il y avait aussi une prophétesse, Anne, fille de Phanuel, de la tribu d’Aser. Elle était fort avancée en âge, et elle avait vécu sept ans avec son mari depuis sa virginité.
2 : 37 Restée veuve , et âgée de quatre vingt-quatre ans, elle ne quittait pas le temple, et elle servait Dieu nuit et jour dans le jeûne et dans la prière.
2 : 38 Etant survenue , elle aussi, à cette même heure, elle louait Dieu, et elle parlait de Jésus à tous ceux qui attendaient la délivrance de Jérusalem.
En lisant ces textes, nous remarquons que c’est Jésus qui est au centre, c’est Lui l’envoyé de Dieu, c’est Lui le Fils. Les Evangiles nous démontrent que c’est Lui le substitut, c’est Lui qui est mort sur la croix à cause de nos péchés. C’est Lui seul qui est ressuscité.
Vous êtes intelligent, Danil, alors lisez aussi l’Ancien Testament, et ne vous appuyez pas sur vos traditions inculquées depuis votre tendre enfance. Demandez dans une prière journalière adressée à Lui, l’aide de Dieu pour que vous puissiez comprendre le salut de Dieu.
Fraternellement
Roger B.
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