L’Alliance Evangélique et le Réseau FEF répondent à Claude Baty et à la FPF

836 lectures, par nicolas le 20 avril 2010 · 9 commentaires

dans la rubrique Actualités des églises

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RFEF/AEF

NDLR: Stéphane Lauzet, secrétaire général de l’Alliance Evangélique Française, m’a transmis cette réponse du missiologue du Réseau FEF (ex-FEF), aux propos de Claude Baty lors de la dernière Assemblée générale de la FPF. Et puisque l’on parle de chiffres, je m’étais moi-même essayé en 2005 à compter les évangéliques (lire ici)

Le CNEF pose-t-il des difficultés arithmétiques à la FPF ?

Par Daniel Liechti, missiologue, corédacteur de l’Annuaire évangélique, membre du comité représentatif du CNEF

Que la création du Conseil National des Évangéliques de France (CNEF) suscite des questions, quoi de plus normal ? Que d’aucuns en éprouvent une certaine crainte, là encore, c’est tout à fait compréhensible.

Mais les propos tenus, lors de la dernière assemblée générale de la Fédération Protestante de France (FPF), selon lesquels le CNEF ne « pèserait » que 150 000 fidèles évangéliques contre 200 000 à la FPF, nous ont fort étonnés. Étonnement devant les affirmations audacieuses résultant de cette comparaison : « Les chiffres ne font pas du CNEF un réel concurrent » et « …d’une certaine manière la parole évangélique serait davantage à la FPF qu’au CNEF ». Étonnement devant les chiffres avancés. Quelles sont les sources des chiffres communiqués par la  FPF ? Selon quelle méthode ont-ils été élaborés, quelle réalité recouvrent-ils ?

Considérons ici froidement quelques données, fruits d’une approche prudente et réaliste, qui s’appuie sur le recensement qui se fait périodiquement pour l’élaboration de l’Annuaire évangélique. Précisons cependant d’emblée que la force du CNEF ne résultera pas tellement de son poids numérique, certes inédit pour un organisme évangélique hexagonal, mais surtout de son unité spirituelle, de sa dynamique d’action dans la société, de son élan d’évangélisation et d’implantation de nouvelles Églises locales ou paroisses.

Comparer ce qui est comparable

En parlant du nombre d’évangéliques, il faut éviter la confusion, malheureusement courante, entre le comptage des seuls adultes membres d’une Église locale et, plus largement, le nombre de pratiquants de tous âges fréquentant régulièrement un lieu de culte protestant évangélique. Ce n’est que cette dernière notion qui permet des comparaisons adéquates et équitables avec les autres protestants et toutes les branches du christianisme voire les pratiquants réguliers des autres religions. Dans les Églises protestantes évangéliques, la définition de membre est généralement très resserrée. La quasi-totalité d’entre-elles n’ont que des membres adultes « professants ». Le chiffre des adultes membres demande donc à être pondéré par l’utilisation d’un facteur multiplicateur de 3 en moyenne pour refléter la réalité du nombre de pratiquants réguliers de tous âges. Il est donc tout à fait légitime d’estimer le nombre de pratiquants réguliers à 200 personnes environ par Église locale, avec ses annexes. Au moyen de cette pondération, ici volontairement simplifiée par l’application du même facteur moyen à toutes les Églises (mais qui est à nuancer en fonction des types ecclésiaux dans des travaux plus spécialisés) on aboutit à des chiffres qui peuvent être comparés aux chiffres proposés concernant les pratiquants réguliers des Églises dites « multitudinistes ». En précisant que nous parlons bien de pratiquants réguliers et non simplement de sympathisants.

La vérité des chiffres

Fin 2009 il y avait en France métropolitaine 2011 Églises protestantes évangéliques en comptant comme Églises locales, suivant la règle habituelle des statistiques missiologiques, uniquement les groupes suffisamment structurés pour être en capacité de proposer au moins trois cultes publics en week-end par mois. Nous estimons, sur la base de nombreux recoupements, que ces Églises locales ou paroisses et leurs annexes rassemblent aujourd’hui environ 400 000 pratiquants réguliers.

Dans ces 2011 Églises réparties dans les 95 départements de l’Hexagone, le nombre d’Églises indépendantes recensés dans l’Annuaire évangélique s’élève à 349, sachant que nous incluons ici dans ce chiffre les assemblées de frères dites darbystes qui fonctionnent, pour l’instant, sans union d’Églises officielle. Les Églises indépendantes ne peuvent adhérer à la FPF ou au CNEF qui ont pour seuls membres des unions d’Églises. D’ailleurs, comme l’appellation Église indépendante l’indique, celles-ci ne sont pas vraiment demandeuses.

Il reste un total de 1662 Églises locales, membres d’une des 43 unions d’Églises protestantes évangéliques existant actuellement, et donc potentiellement membres de la FPF et/ou du CNEF.

Le tableau suivant donne des chiffres prévisionnels, sachant que plusieurs unions ou fédérations d’Églises n’ont pas encore pris la décision définitive d’adhérer ou non au CNEF et qu’il existe toujours une marge d’erreur possible dans les recensements.
 

En résumé

Contrairement à ce qui a été affirmé lors de la dernière assemblée générale de la FPF,  le CNEF avec a priori 74 % d’Églises locales affiliées versus 40 % à la FPF, deviendra le 15 juin prochain sans doute le principal regroupement d’Églises protestantes évangéliques de France. Cette nouvelle responsabilité doit le conduire à mettre en œuvre de façon constructive, pour le bien de l’ensemble du protestantisme,  les quatre missions qu’il s’est donné : concertation, information, représentation et animation de projets.    

Les données numériques présentées ici, au-delà de la transparence salutaire qu’elles veulent apporter dans le débat sur la « famille recomposée » du protestantisme français, soulignent avec force l’utilité de l’appel au dialogue formulé par la dernière assemblée générale de la FPF. Ce vœu rejoint de façon heureuse le principe que le CNEF a inscrit dans sa charte de fondation : « Compte tenu des racines historiques communes et des défis posés à l’ensemble du protestantisme, le CNEF veillera à développer une concertation utile avec la Fédération Protestante de France. » 

Le 19 avril 2010


{ 9 commentaires… lisez-les ci-dessous ou ajoutez-en un }

1 Jean Croissant 21 avril 2010 à 1 h 19 min

[ Le message de Jean Croissant a été édité par la modération: notre frère dit des choses très intéressantes par ailleurs, mais sa situation personnelle est trop conflictuelle et son attitude excessive. Il a donné ses opinions dans son interpellation au CNEF en 12 points, nous en resterons là. ]

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2 Nicolas K. 21 avril 2010 à 7 h 19 min

« Et ils se dirent l’un à l’autre: Allons, faisons des briques, et cuisons-les au feu. Et la brique leur tint lieu de pierre, et le bitume leur tint lieu de mortier. Et ils dirent: Allons, bâtissons-nous une ville et une tour, dont le sommet soit dans les cieux, et faisons-nous un nom, de peur que nous ne soyons dispersés sur la face de toute la terre. »

Voila ce que j’en pense de tout ça… ou encore :

« Alors le diable lui dit: Si tu es le Fils de Dieu, commande à cette pierre qu’elle devienne du pain. »

Les pierres vivantes que nous sommes censés être (1 Pierre 2.5) et avec lesquelles Jésus bati son Eglise (Matthieu 16.18) sont transformées en des briques mortes pour batir Babylone et/ou en pain pour nourrir « l’homme de Dieu ».

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3 nicolas 21 avril 2010 à 8 h 32 min

Lorsque je pense à l’attitude de la FPF vis à vis du CNEF naissant, je repense à ce texte de Genèse 48;20:

« En ce jour-là, il les bénit ainsi : Soyez en bénédiction dans Israël et qu’on dise : Que Dieu te rende semblable à Éphraïm et à Manassé ! mettant ainsi Éphraïm avant Manassé. »

Dans la Bible les frères se sont toujours chamaillés. C’est vrai depuis Caïn et Abel ! Mais en Genèse 48 ;20, on peut voir que Manassé a eu la sagesse de laisser son benjamin Ephraïm lui passer devant, recevoir une bénédiction qui le rendait supérieur à son aîné.

Que la Fédération Protestante ait l’attitude de Manassé, cette sagesse et cette humilité ! Car la Bible nous enseigne clairement que la chute est toujours précédée par une attitude d’orgueil, d’élévation de soi et d’endurcissement.

L’abaissement, l’humilité, est la marque du serviteur. Le plus grand n’est-il pas celui qui sert? « J’ai été parmi vous comme celui qui sert », disait Jésus.

Voilà ce que j’aimerais que nos frères aînés puissent avoir à l’esprit: l’attitude d’un Manassé, qui selon la sagesse juive, est un « grand frère » digne de ce nom.

Nicolas ><>

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4 nicolas 21 avril 2010 à 8 h 45 min

Mon cher Nicolas K, ces gens sont tes frères. Il te faut les bénir et prier pour eux. Il s’agit de nos églises et, par milliers, nos frères et soeurs les composent.

Il ne faut pas tomber dans la paranoïa et le simplisme, même si on peut s’inquiéter de ces tendances centralisatrices.

Bien à toi

Nicolas ><>

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5 Joseph C. 21 avril 2010 à 9 h 01 min

Bonjour.

Si on comprend bien, la FPF et le CNEF se querellent pour savoir qui représente le plus et le mieux les Protestants Evangéliques.

Heureusement, cela ne concerne que les Pasteurs de ces structures en mal de reconnaissance et de représentation officielle, puisque parmi les brebis du Seigneur que nous sommes, nous nous considérons principalement comme frères et sœurs en Christ lui appartenant, et étant de ce fait déjà visibles, lisibles et reconnus.

J’ignore la méthode de calcul de la FPF, dont des Evangéliques adhérent et vont cotiser au CNEF.
Cependant, celle que rapporte le missiologue Daniel Liechti du CNEF, dont des Evangéliques adhèrent et cotisent donc à la FPF, laisse pantois.

En effet, dans la partie « Comparer ce qui est comparable » de son intervention, cet éminent spécialiste illustre bien la difficulté, pour ne pas dire la pagaille, de savoir tout simplement qui est membre ou pas d’une Eglise.

En outre, on peut se demander d’ou vient cet étonnant facteur multiplicateur 3, servant à déterminer le nombre de membres réels par rapport au nombre de pratiquants ?…
Mais alors, dans ces conditions, comment donc va faire mon Eglise ou mon Mouvement, principal adhérent du CNEF, pour déterminer la cotisation d’adhésion à payer annuellement ?

Quand les Pasteurs aiment, toutes les brebis le savent, ils ne comptent pas !

Heureusement, le missiologue Daniel Liechti présice d’emblée, je le cite, « que la force du CNEF ne résultera pas tellement de son poids numérique, certes inédit pour un organisme évangélique hexagonal, mais surtout de son unité spirituelle, de sa dynamique d’action dans la société, de son élan d’évangélisation et d’implantation de nouvelles Églises locales ou paroisses ».

Ouf ! Etant rassuré, maintenant j’adhère…

Joseph C.

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6 Jean Croissant 21 avril 2010 à 11 h 38 min

[ Le message de Jean Croissant a été édité par la modération: notre frère dit des choses très intéressantes par ailleurs, mais sa situation personnelle est trop conflictuelle et son attitude excessive. Il a donné ses opinions dans son interpellation au CNEF en 12 points, nous en resterons là. ]

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7 Nicolas K. 21 avril 2010 à 19 h 39 min

Oui pardon si mon commentaire peut paraître « paranoïaque et le simpliste », mais ce sont tous ces systèmes de fédérations, de « qui est le plus grand », « faisons-nous un nom » et compagnies… qui me fatiguent.

Et si on revenait à la simplicité de l’Évangile ?

Cependant je sais qu’il s’agit de mes frères et soeurs, de membres du Corps de Christ. Et si un membre souffre, tout le corps souffre. Voilale pourquoi de ma souffrance, de ma fatigue.

Aussi j’ai certainement ma part de « Babylonisation » de laquelle j’ai à me défaire.

Shalom.

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8 nicolas 21 avril 2010 à 23 h 35 min

Mon cher nicolas K., et si nous donnions, comme des enfants justement, le bénéfice du doute à ce CNEF?

Si nous le voyions comme ce qu’il est: pas grnad chose en soi. Un mur dans une maison, n’est rien ! Ce qui est important, c’est l’espace de liberté qu’il aménage à l’intérieur, non?

Bien à toi

Nicolas ><>

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9 Nicolas K. 22 avril 2010 à 20 h 15 min

Mon cher homonyme (^_^),

Je ne met pas en doute les personnes qui composent ce CNEF, ni même celles qui en sont à l’origine. Elles aiment certainement notre Seigneur, peut être même plus que moi, elles sont certainement zélées pour Lui, je n’en doute pas, et certainement plus que moi.

Ce à quoi je n’adhère pas, c’est ce système inutile de fédération. Pour reprendre ta parabole, cette maison, si bien bâtie par Jésus et composée d’hommes et de femmes le servant, a-t-elle besoin que l’homme vienne y rajouter des murs y entravant la libre circulation ?

Tu as donc raison en me demandant si ce qui est importe c’est l’espace de liberté dans cette maison, car je crois que ce système vient bâtir une cloison dans la maison du Seigneur et y enferme des groupes de disciples.
Cela me fait penser à une vision d’un serviteur, Patrick FONTAINE il me semble, et il me semble aussi qu’elle a été relayée par ce blog, qui a vu une croix divisée en plusieurs cellules dont chacune représentait différentes dénominations, et les gens à l’intérieur y étaient comme en prison. Tandis qu’à l’extérieur il y avait une grande et belle plaine où des brebis paissaient paisiblement.

Maintenant je crois que la question à poser est : « en quoi les fédérations emprisonnent-elles ? » Effectivement, bonne question mon frère Nicolas ! (^_^)

Premièrement, pour les mêmes raisons que pour les dénominations, les fédérations étant rattachées à des dénominations. Ce qui est amusant c’est qu’à chaque mouvement de réforme, les réformateurs ont toujours voulu se détacher des systèmes existants, revenir à la liberté en Christ. Chaque mouvement refusait qu’on lui donne un nom spécifique, mais pour finir devenait une dénomination, un système à part entière.
Pour exemple, ceux qu’on appelle les « darbystes » refusaient qu’on les appelle ainsi ou autrement et s’appelaient entre eux « frères », qui est la simple appellation biblique de ceux qui partagent notre foi, bah on les a finalement appelé « les frères » et on a tout de même réussit à leur coller l’étiquette de « darbystes ».
La même mésaventure pour notre frère John WESLEY, refusant tout nom, on a finalement réussi l’étiqueter « méthodiste ».
—Etc, etc.—
Et pour chacun de ces groupes aujourd’hui, si tu n’adhères pas à son lot de doctrines (justes ou erronées soient-elles), tu risques de ne pas être considérer comme frère. La lecture de la Bible se fait maintenant avec des « lunettes dénominationnelles », en fonction des lunettes qu’on ma donné je vais devoir interpréter la Parole de Dieu à travers elles. Et lorsqu’à cause d’une petite fatigue des yeux je vais poser mes lunettes à côté, et alors recevoir un nouvel éclairage sur un enseignement de la Bible, je vais en avoir des maux d’estomac du fait que j’ai du mal à le faire cadrer avec la vision qui m’est imposée à travers mes lunettes.

Pour revenir au fédérations en elles même, je renvoie tout un chacun vers ce lien par exemple, « conditions d’adhésion » :
http://www.cnef.info/30,Pour-devenir-membre.html

Je ne me sens pas de détailler chaque point de ces conditions, mais je pense que vous m’aurez compris.
Moi et mes 5 pèlerins qui nous réunissons au fin fond de notre campagne (c’est une expression, ce n’est pas forcement mon cas) ne pouvons être fédérés ? De plus nous ne sommes même pas regroupés en association (légale)…
Moi et mes camarades qui sommes tous des SDF ayant donné notre vie au Seigneur et ne pouvons payer la cotisation, ne pouvons-nous pas être fédérés ?
Mon union d’églises n’en regroupe que 4… Zut ! c’est raté, nous ne sommes pas assez « puissants » pour qu’on daigne nous fédérer.

Ensuite, il est vrai que pour le cas du CNEF la confession de foi est assez large pour tout un chacun puisse y adhérer, même le « Christianisme Céleste » !

Et pour moi qui ne désire pas m’associer avec les partisans du « Pèches ce n’est pas grave, tu as confessé Jésus tu es donc sauvé quoi qu’il arrive. Quand bien même tu renierais Jésus et retournerais à la boue, à ce que tu as vomis », comment ça se passe ? J’adhère pourtant à ce qui est dit dans la « confession de foi » du CNEF.
A ce point une autre question en vient à être poseé, quelle est la marge des doctrines tolérées ? Qui la définit ? Sur quels critères ? Sur quelle autorité ?

Euh… autre chose. Jusqu’à quel point la fédération acceptera de se soumettre à l’état ? Aujourd’hui en France ça ne pose aucun problème, même si par exemple il est interdit de condamner l’homosexualité, mais lorsque que cette loi sera appliquée, qu’adviendra-t-il des fédérations ? Imposera-t-elle à ses membres de ne plus prêcher contre l’homosexualité ? Si non elle sera dissoute par la « justice », il n’y aura alors plus de fédération.
Mais donc lorsque les temps de persécutions physiques arriverons en France, à quoi serviront les fédérations ? Parce que si je ne me trompe leur seul rôle actuellement est de « peser » dans l’état, et éventuellement en recevoir des subventions.
Par exemple en Chine, les églises qui ne font pas partie de « l’église officielle » à quoi leur servirait-il de se faire fédérer, si ce n’est de pouvoir en recenser tous les membres et ainsi pouvoir mieux les arrêter et envoyer en prison ?

La Charité, qui est le lien de la perfection (Colossiens 3.14), n’est-ce pas seulement ça qui doit nous fédérer et nous unir ? L’Esprit de Dieu n’est-il pas suffisant pour nous unir, comme ça l’est pour affirmé dans la déclaration de foi de la CNEF ?

Les fédérations et dénominations créent des rivalités, comme cet article le démontre si bien, je pense que rien que ceci est une bonne raison pour ne pas y adhérer. Nous avons déjà assez d’autres raisons de nous quereller.

Fraternellement,
Nicolas KAROLAK

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