C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair.

169 lectures, par christian PF le 28 mars 2010 · 8 commentaires

dans la rubrique Bible, Christianisme, Des relations dans l'amour, Edification, Exhortations et sermons, Perfectionnement des saints

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Blog d’Henri Viaud Murat

Les problèmes de couple, notamment les divorces et les remariages, sont de plus en plus nombreux au sein de l’Eglise de Jésus-Christ. Ce sont les fondements mêmes de l’Eglise et de la vie chrétienne qui sont ébranlés ou détruits. Dans cette étude, nous présenterons ce que la Bible enseigne dans ce domaine. Notre foi doit s’appuyer sur ce que Dieu nous révèle par le Saint-Esprit dans Sa Parole.

Au commencement, Dieu créa l’homme et la femme. Si le Seigneur, dans Sa sagesse, a prévu dès le départ une différentiation sexuelle, c’est parce qu’Il avait un plan extraordinaire. Il a voulu que le couple homme-femme représente clairement la relation entre Dieu et Israël, puis entre Christ et Son Eglise, qui est aussi Son Epouse.

Les relations entre Dieu et Israël, puis entre Christ et Son Eglise, sont fondées sur le principe d’une alliance divine. C’est Dieu qui est l’initiateur de cette alliance, qu’Il propose ensuite à l’humanité.

Dieu a toujours voulu conclure Son alliance avec les hommes. Il l’a conclue tout d’abord avec Adam, puis avec Noé, enfin avec Abraham et sa descendance. Nous ne parlerons dans cette étude que de l’alliance conclue entre Dieu et Abraham, car nous sommes toujours, en tant que Chrétiens, au bénéfice de cette alliance.

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1 Scarron 28 mars 2010 à 9 h 07 min

Cinq maris !

Mimi Mésange, avant sa conversion, on en rigolait dans la forêt. C’est qu’elle avait la plume facile, la généreuse oiselle. Cinq maris! et qui sait combien d’aventures…

On aurait plutôt pensé que d’autres plus sages qu’elles se convertiraient. Enfin, l’Esprit souffle où il veut; et personne ne le conteste aujourd’hui, le Seigneur lui a fait grâce.

Marco Merlot, par contre, son mari le cinquième, il a pas apprécié. Finies les soirées folles entre voisins voisines, où on ne sait plus dans quel nid on se réveille au petit matin. Alors le Marco il s’est trouvé une jeune pie, et il a plaqué la Mimi.

Et puis la roue tourne, c’est la vie. Philibert Pinson, oiseau rangé et engagé dans son assemblée, a fait la cour à Mimi Mésange. Ils se sont mariés l’an passé, avec la bénédiction du pasteur. A eux deux ils avaient déjà 3 enfants, et un quatrième en route à présent.

Pour le coup, c’est Déodat Dindonneau qui a pas apprécié. Il a fait savoir à toutes les basse-cours qui le soutiennent, qu’il excommuniait les deux oiseaux et le pasteur qui les avait mariés. C’est qu’il la connaît, lui, la Parole! C’est pas comme ce pasteur imposteur.

Avec une fine ironie, il y en eut un qui répondit un jour à une autre mésange:

En cela tu as dit vrai: tu n’as pas de mari… car tu as eu cinq maris, et celui avec qui tu es n’est pas ton mari.

Puis il a arrêté là sur le sujet; il ne lui a pas fait un sermon; ce n’était pas ce qui comptait pour l’instant. Et il savait que plus tard l’Esprit la conduirait. Connaissait-il donc moins la Parole que Déodat? Disons que peut-être il avait une conception de la miséricorde différente de celle de Déodat, et que la Parole, à défaut de la connaître, il l’était.

Scarron.

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2 Michoud Myriam 28 mars 2010 à 9 h 59 min

Scarron,
J’aime bien ta petite « histoire » surtout la fin ….

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3 Yapo 28 mars 2010 à 10 h 14 min

Proverbe 21:24 « L’orgueilleux, le hautain, s’appelle un moqueur; Il agit avec la fureur de l’arrogance. »

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4 Yapo 28 mars 2010 à 10 h 19 min

J’aime bien ce petit article très édifiant sur le couple, surtout sa fidélité avec l’Ecriture.

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5 Carole 28 mars 2010 à 16 h 00 min

Dieu prend plaisir à la miséricorde pas à la lettre qui tue

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6 Carole 28 mars 2010 à 16 h 20 min

C’est pourquoi l’homme renoncera à ‘’son père et sa mère » , se chargeant de sa croix, pour suivre et s’attacher à son Père céleste, Le laissant tout diriger…

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7 Yapo 28 mars 2010 à 20 h 24 min

Dieu prend également plaisir à l’obéissance et non à de vains raisonnements.
Dieu ne dirigera jamais celui qui a renoncé à lui-même et qui s’est chargé de sa croix dans le péché et ne l’encouragera pas non plus à rester dans une position de compromis.

Jésus-Christ, le Créateur et la Vérité, a révélé la Vérité à la femme samaritaine : même si aux yeux des hommes son cinquième homme est son mari, en réalité et selon la Vérité, son vrai mari aux yeux de Celui à qui elle est appelée à rendre compte est le premier homme avec qui elle s’est mariée.
Si pour Jésus-Christ l’autre homme n’est pas son vrai mari alors comment considère t’il cette union sinon de l’adultère ?

Le Sauveur de l’humanité, Lumière des nations, est venu éclairer son coeur, mettre en évidence son péché afin qu’elle s’en repente. Ce n’était pas pour qu’elle continue dans cette situation que Celui qui sonde les coeurs et les reins lui a ainsi parlé.
Ce fut aussi le cas pour les protituées et les publicains dont le Seigneur a parlé en disant qu’ils devanceront les religieux qui n’ont pas cru en Lui. Ca ne signifie pas qu’ils ont continué à pratiquer leurs méfaits, mais qu’il s’en sont repentis.
Se repentir, ce n’est pas seulement regretter son péché, mais c’est aussi l’abandonner. Sinon, le sacrifice de la Croix serait vain.
Croire que la femme samaritaine est restée avec ce « mari » après sa conversion et penser que Jésus-Christ, Celui en qui il n’y a point de mensonge, apprécierait une telle situation, c’est adhérer à une pensée ouvertement rebelle à Dieu.
Même si on ne connait pas la suite de l’histoire, on sait au moins que cette femme avait reconnu son état d’adultère. On sait aussi qu’elle a présenté Jésus à ses compatriotes comme étant celui qui lui a dit tout ce qu’elle a fait. Si c’est pas témoigner du Salut que Jésus lui a accordé, qu’est-ce que c’est ?
Quand le Saint-Esprit vient nous convaicre de péché, c’est juste pour qu’on en est conscience sans avoir besoin de l’abandonner ?

L’histoire de cette femme samaritaine vient en réalité révéler ce que Dieu pense du remariage : de l’adultère !

Alors cessons d’encourager ce que La Vérité n’accepte pas sous prétexte de « miséricorde ».

Exposer ces choses fidèlement à la Parole de Dieu n’est pas pratiquer « la lettre qui tue » ou manquer de miséricorde.
Interpeller, avertir, n’est pas nécessairement condamner.

Terminé.

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8 Carole 29 mars 2010 à 2 h 48 min

Bonsoir Yapo,

non, pas tout à fait terminé…..

Que tu soies un homme comme une femme, si tu veux obéir à Dieu, tu renonceras à  »ton père et à ta mère » pour rencontrer et t’attacher à ton seul véritable  »Mari »…en qui tu mettras toute ta confiance.
C’est le bonheur qu’a vécu la samaritaine…

Et puis aussi, deux conjoints mariés peuvent très bien être fidèles l’un à l’autre toute leur vie, donnant une image de  »bons chrétiens » et pourtant avoir le coeur complètement adultère devant Dieu.
De ceux-là on ne parleras pas…

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