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Le Monde
« Nous ne pouvions plus rester, ils viennent nous tuer jusque dans nos maisons », gémit Isaac Petros, assis sur des cartons, une théière entre les mains. Des dizaines de voitures bourrées à craquer, des matelas empilés sur le toit, ont fait irruption sur le parking de la gare routière de Karakosh, à la nuit tombée. Depuis quelques jours, des réfugiés hagards viennent récupérer des vivres et un peu d’aide distribuée par l’Office international des migrations (OIM). Des centaines de familles chrétiennes ont débarqué dans ce bourg syriaque de la province de Ninive, en provenance de Mossoul.
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