Abstinence Clearing House / Breaking Christian News
«Les programmes d’abstinence montrent aux enfants, qu’ils ont trop de choses magnifiques à faire dans leur avenir, pour tout gâcher par des MST, des grossesses et des déceptions amoureuses. L’ abstinence est un message que nos enfants veulent entendre.»
Sioux Falls, (Dakota du Sud). Une nouvelle étude réalisée aujourd’hui, montre que l’éducation à l’abstinence est très efficace dans la réduction de l’activité sexuelle chez les jeunes, contrairement à la mise en place de programmes à l’éducation sexuelle qui s’avèrent inefficaces.
La baisse est remarquable. Cette étude suit des étudiants sur une période de deux ans, consécutive à la fin de la formation à l’abstinence. Un tiers des étudiants a montré une baisse de l’activité sexuelle, par rapport à ceux qui n’ont pas participé à cette formation. Les programmes de promotion du préservatif, n’ayant eu, quant à eux, aucune influence sur le comportement des jeunes. Ceux ci n’ont montré aucune baisse de l’activité sexuelle, ni même une augmentation de l’utilisation de contraceptif.
«Une étude qui, finalement, prouve ce que nous, qui enseignons l’abstinence, savions depuis plusieurs années. Ce programme aide au développement du contrôle et de l’estime de soi, en apprenant aux enfants à ne pas devenir les jouets de la roulette russe que sont les préservatifs» déclare Leslee Unruh, le Président et Fondateur de la «National Abstinence Clearinghouse». «Les programmes d’abstinence montrent aux enfants, qu’ils ont trop de choses magnifiques à faire dans leur avenir, pour tout gâcher par des MST, des grossesses et des déceptions amoureuses. L’abstinence est un message que nos enfants veulent entendre. Cette étude montre que les jeunes font des choix plus sains et changent de comportement grâce à ce message rafraîchissant », déclare Unruh.
Cette étude concernant des lycées noirs est parue dans les « Archives de la Médecine Pédiatrique et Adolescente» de février 2010, publiée par l’Association Médicale Américaine. Elle a été menée et rédigée par les docteurs John et Loretta Jemmott de l’Université de Waterloo et l’Institut de recherche en cancérologie de Waterloo en Ontario. Cette étude utilise des techniques de pointe dans le domaine de l’évaluation en particulier la sélection aléatoire des sondés.
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