Durban II ou le sacre de l’obscur, par François Celier

Bonjour,
Hier avait lieu en effet une commémoration dans la petite synagogue d’Evian . Plusieurs représentants de divers pays étaient présent dont Madame Dufoix qui a parlé pour nous français . Confessions , demandes de pardon se sont élevées devant nos amis juifs de même que des prières sortant de coeurs repentants, brisés conscient de la portée et des conséquences du rejet du peuple juif par tant de nations en 1938 au bord du lac Léman, par nos "pères" en quelque sorte .
Je sais que ce n’était pas la 1ère commémoration qu’il y est eu à Evian ou ailleurs mais vu les évènements de la veille à Genêve cette humble petite réunion n’en était que plus profonde et émouvante .
Peu de gens connaissent les faits de 1938 à Evian et je trouve très bien l’information à ce sujet que l’on trouve ici sachant que ce génocide a été comme "un coup de poignard" dans le coeur de notre Père Céleste.
Myriam MIchoud

Personne ne prend au sérieux la menace islamique, alors qu’il suffit de lire le coran et la sirâ pour comprendre que le but déclaré du prophète de l’islam,peu après son installation à Médine a été d’étendre son emprise sur le monde entier en instrumentalisant la religion pour la transformer en machine de guerre.
Comme la sourate XLVIII le précise :"Nous vous appellerons à marcher contre les nations. Vous les combattrez, jusqu’à ce qu’elles embrassent l’islam" suivi de "Dieu a été satisfait de ces croyants… Il les a récompensé par une victoire immédiate ainsi que par un riche butin qu’ils ont enlevé… Il vous avait promis d’autres dépouilles dont vous n’avez pû encore vous emparez, mais il les a déjà en son pouvoir". Durant toute sa vie à partir de Médine, Mahomet a mené une guerre offensive à l’encontre de ses voisins. Tous les combats étaient suivis, de massacres, de pillage et de viol collectifs comme à Hunayn :"Le messager de Dieu ordonnat qu’on assemblât le butin dans un même endroit. Les captifs et le bétail furent réunis dans un même enclos. Les musulmans se ruèrent sur les femmes. Ne voulant pas de celles qui était mariées, ils demandérent au prophète comment procéder. IL leur répondit : Ne prenez pas de femme enceinte avant qu’elle ait accouché, ni d’autre femme avant qu’elle ait eu le sang menstruel"
(Quel âge : 14-12 ou 9 ans, l’age d’Aïcha lorsque que Mahomet consomma le mariage avec la fillette qu’il avait épousé dès 6 ans. Il s’agit là de textes officiels d’après les témoignages rapportés par ses propres compagnons.
Le butin occupe une place essetielle dans le coran et dans la vie de Mahomet. Il va être le moteur de la conquête musulmane. Médine qui n’était qu’une pauvre bourgade agricole sans commerce caravanier ne va s’enrichir que gràce au pillage et aux biens dérobés aux juifs, chassés de leur oasis, tribu après tribu avant d’être exterminés. (Tous les hommes seront décapités et leur femmes et leurs enfants réduits en esclaavage). La sourat VIII, intitulée "le butin" consacre le cinquième de celui-ci à Mahomet et précise l’attitude à avoir envers les ennemis : "Si tu parviens à les saisir au combat, disperse par leur supplice ceux qui les suivent afin qu’ils y songent" (la terreur) "Il n’a pas été donné aux prophètes de faire des prisonniers (otages) sans commetre de grands massacres sur la terre". Le génie de Mahomet a été de transformer la simple razzia en djihad, légitimant la guerre contre les idolâtres en tout temps en tous lieux et par n’imporque quel moyen.
Seule la mort au combat assure au musulman l’accession directe au paradis, tous ses péchés lui étant automatiquement pardonnés, et l’octroi des 72 houris. La guerre va être étendu à tous les non musulmans et devenir un commandement essentiel, supérieur à la prière. "Faites la guerre à tous ceux qui ne croient point en Dieu ni au jour dernier, qui ne regardent pas comme défendu ce que Dieu et son prophète ont interdit et ceux parmi les gens des Ecritures qui ne professent pas la vraie religion" (Qui en juge ?) Si vous ne marchez pas au combat, Dieu vous punira d’un châtiment douloureux ; il vous remplacera par un autre peuple…" (sourate IX)
Ces obligations de combattre suivies de menace du châtiment divins sont maintes fois répétées dans le coran : sourate II "…La tentation de l’idolâtrie est pire que le carnage à la guerre.." sourate III, IV, V :"Voici quelle sera la récompense de ceux qui combattent Dieu et son apôtre..Vous leur ferez subire le supplice de la croix et vous leur couperez, bras et jambes alterbés" VIII, IX, XLVII "Si vous rencontrez des infidéles, tuez les jusqu’à en faire un grand carnage et serrez les entraves des captifs que vous aurez faits" XLIII, LIX, LX.
Les zélateurs de cette religion prétendent que ces versets ont été mal interprètés alors qu’ils sont des plus explicites. Et qui donc, mieux que le prophète de l’islam est le plus qualifié pour les interprèter, lui qui a toujours appliqué les sanctions avec la plus grandes sévérités, notament envers les femmes (adultères ou ayant perdu leur virginité) qu’il a fait lapider, là ou les textes coraniques ne prévoyaient que la flagellation et l’enfermement ; lui qui a fait assassiner tous ceux qui l’avaient simplement critiqué, permettant aux exécutants de mentir et même de le calomnier pour mieux s’approcher d’eux. Seuls ses compagnons de combat ont bénéficié de sa miséricorde même pour des massacres de femmes et d’enfants et même de musulmans récemment convertis. Auxquels il convient d’ajouter les personnages influents de la Mecque pour des raisons politiques.
Quant aux versets tolérants prononcés pour la plupart à la Mecque, il ne faut pas oublier que le verset 100 de la sourate II : "Nous n’abrogerons aucun verset de ce livre, ni n’en feront effacer un seul de la mémoire, sans le remplacer par un autre meilleur ou pareil" Ce curieux verset où Dieu semble avouer qu’il n’est pas infaillible va permettre à Mahomet de modifier les révélations précédentes pour les adapter à sa politique de conquête. C’est ainsi que les versets qui proclament la tolérance dantant de la période de la prédication mecquoise où Mahomet voulait rassembler juifs et chrétiens dans un même religion ont été définitivement effacés par les nombreux versets proclamés par la suite notament sourate IX et XLVIII.
Les musulmans ont déifié leur prophète, le saint homme, le beau modéle, au point qu’ils ne peuvent pas citer son nom, sans l’accompagner de bénédictions, alors que les propres compagnons du prophète ont démontré la réalité du personnage. C’est ainsi que lorsqu’ il a décidé d’attaquer les "riches" caravanes de la Mecque et cela sans aucune provocation de la part de cette dernière ils lui ont fait remarquer : "Alors que nous étions persécutés à la Mecque, tu nous disais de patienter et de ne pas répondre aux provocations des idolâtres et maintenant tu nous demandes d’attaquer (les caravanes)
Certains ajoutant qu’il était plus intéressé par le butin que par la religion. Il aurait alors répondu :
"Dieu me demandait alors de pardonner".
Ce changement de comportement coïncide à son nouveau statut d’arbitre et de chef de communauté, ainsi qu’aux disputes avec les juifs de Médine qui refusent de le considérer comme un prophète et qui vva se concrètiser par le changement de la direction de la prière qui de Jérusalem va passer à la Mecque (à Médine presqu’à l’opposé) en réponse aux juifs qui l’accusent d’avoir choisi leur Qibla. C’est également à cette époque qu’il va se séparer des chrétiens. C’est ainsi que pour faire face aux difficultés d’approvisionement de ses compagnons émigrés de la Mecque qui ne doivent leur survie qu’à la charité des paysans médinois, il va se tourner vers le brigandage.
Ce n’est qu’aprés de multiples attaques qu’il connaît des succès entrainant ainsi la conversion des bédouins.
Quant à la notion de grand djihad, il n’en est aucune question dans la sirâ si ce n’est que Mahomet exige de ses hommes une certaine discipline et essaye de les inciter à éviter les disputes, lui-même a le bon sens de se montrer bienveilant envers ses compagnons pour pouvoir compter sur eux lors des combats. Cette bienveillance envers ses compagnons va jusqu’à leur pardonner les meurtres de femmes et d’enfants (même musulmans) qu’il désaprouve, sans toutefois n’appliquer aucune sanction, alors qu’il se montre intraitable envers les femmes et ses contradicteurs.