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Mon pseudonyme, quand j’interviens sur ce site, est Nora (c’est le prénom de ma fille cadette), mais pour témoigner, je préfère donner mon vrai prénom : je m‘appelle Lessia.
Je suis très touchée par la disparition de la petite Maddy, 4 ans, car comme mon témoignage va vous l’apprendre, je suis privée de mes enfants…
Je viens d’une famille dont les parents connaissent Dieu depuis une vingtaine d’années. Ils sont venus à Dieu suite à la guérison miraculeuse de mon père d’une hépatite B foudroyante avec purpura virale, une maladie qui existait surtout dans les livre et qui tue rapidement en trois jours. Ma mère qui travaillait à l’hôpital, et avait été blessée par une seringue, lui avait transmis cette maladie comme ma sœur qu’elle portait.
Mon père était catholique pratiquant jusqu’au jour où il est tombé malade. Il a reçu une prophétie disant que Dieu le guérirait dans la quinzaine alors que selon les médecins il allait mourir. Son foie était en compote et les vaisseaux sanguins avaient tous éclaté. Dieu l’a guéri !
Quant à ma mère, atteinte d’une hépatite B normale et enceinte de ma sœur, elle n’a pas voulu avorter alors que les médecins la culpabilisaient en disant que ma sœur souffrirait de cette maladie in utero et ressemblerait à un monstre, voire ne survivrait pas. Mais ma mère a placé sa confiance en Dieu et a vécu sa grossesse en bonne forme. Elle a accouché de ma petite sœur pleine de vitalité, étonnant grandement les médecins.
C’est dans ces circonstances que nous avons commencé à fréquenter une assemblée. Mon père y a un rôle d’ancien. Nous, les enfants, sommes passés par les eaux du baptême, sauf ma cadette qui aurait souffrir de problèmes congénitaux.
Je fréquentais l’école du dimanche avec bonheur et ne pas y aller était, pour moi, une source de frustration, car je me considérais comme privée d’une fête.
Enfant, j’aimais Dieu et dans ma candeur, j’envoyais des cartes postales dont j’espérais que le vent les porterait jusqu’à Dieu. Il le voyait.
A l’âge de 6 ans, j’ai eu une vision d’une pièce remplie de bibles dans la bibliothèque de mon père et le pasteur lisait la bible avec nous. Je me rappelle que la vision disait qu’il y avait des milliers de bibles dans toute les langues. Il y avait comme des louanges autour. J e ne voyais pas mes parents, mais ils étaient avec moi. Alors, j’ai été réveillée par ce que j’avais cru être trois coups de pieds. Je croyais que le responsable était mon frère, mais quand j’ai raconté mon rêve à ma mère, elle m’a dit que le diable m’avait attaquée à cause de ce rêve.
Quand j’avais 9 ans, j’ai accepté Jésus dans ma vie. Je lisais ma Bible sans vraiment la comprendre, et je me suis fait baptiser à 15 ans. Après cela, j’avais l’impression de flotter comme si mes pieds étaient au-dessus du sol. J’ai reçu une prophétie disant que Dieu me confierait une grande responsabilité face aux âmes qu’il appellerait par moi. J’ai ainsi grandi dans l’assemblée.
A 17 ans, j’ai rencontré mon futur mari dans mon église. Il était baptisé et possédé, mais n’avait jamais été délivré. Alors que je croyais qu’il était chrétien, il m’a roulée dans la farine. Amoureuse, j’ai décidé de me marier à 18 ans comme j’avais toujours rêvé de le faire à cet âge-ci. Je vivais ainsi près de celui que j’aimais et non plus chez mes parents avec qui mes relations étaient devenus distantes. Je me sentais aussi plutôt seule à l’église ce qui m’a poussée à me mettre avec lui rapidement. Nous ne nous disputions jamais et si je voyais certains petits signes de violence chez lui, je n’y prêtais pas attention mettant cela sur le compte de la nervosité.
Puis, un jour, il m’a humiliée pour une histoire de plaques de voiture. Je ne sais pas comment c’est arriver, mais je lui ai mis une claque. Pourtant, je ne suis pas du genre à me défendre et plutôt naïve.
Je me suis mariée sans pouvoir faire marche arrière, liée par ma promesse la honte qui découlerait de son oubli. Et je voulais croire que c’était lui.
Cette claque lui a peut-être donné un sentiment d’infériorité et je pense que c’est ce qui a déclenché sa violence. Enfin, je n’en sais rien … Il a commencer a me frapper quand je n’étais pas d accord avec lui. Quand il paniquait sur la route, il me pinçait la cuisse. J’ai quand même voulu avoir un enfant avec lui en espérant qu’il change de comportement, mais ça s’est accentué : j’étais battu même enceinte, il m’obligeait même à travailler pour payer ses dettes au sujet desquelles il me manipulait souvent. Et tout en se comportant ainsi, il lisait sa Bible bien hypocritement.
Un jour, il m’a frappée, car je lui avais fait remarquer qu’il conduisait trop vite. Il était comme en transe, disait que je l’avais insulté – d’après ce que j’ai compris, il entendait des voix -. Il s’est arrêté au bord de la route et alors que j’étais enceinte de 9 mois de mon aîné, il m’a traînée dans la foret, ma rouée de coups, m’a soulevée et m’a jetée. Je n avais pas mal, préoccupée par ce qui tournait autour de moi : c’étais la mort ! Elle tournait a très grande vitesse, donnait le tournis. C’est une drôle d impression… J’étais paralysée, je ne parlais pas et, je sais comment le mot « JESUS » vint s’inscrire dans ma pensée, et d’un coup la mort disparut. Mon mari s’arrêta subitement, comme oubliant ce qu’il était en train de faire. Il s’est excusé comme à son habitude et nous sommes repartis comme s’il ne s’était rien passé. Nous n’avons plus jamais reparlé de cette journée.
Puis un jour, il a décidé de ne plus aller au culte, a commencé à blasphémer, à jeter la Bible au sol.
Durant ce temps, j’ai eu deux fils à 18 mois d’intervalle. Raphaël est le premier. Mon mari m’a un jour donné un coup sur l’oeil et il s’est sauvé chez ses parents en voyant cela. J’ai téléphoné a mes parents qui m’ont dit de mettre tout de suite un gant de toilette sur le visage car l’oeil avait gonflé d’un seul coup. Mon père était en train de prier avec moi pour la situation. Alors que j’étais couchée, le gant de toilette est tombé et mon fils aîné, Raphaël, qui avait alors 6 mois, a remis le gant à sa place en tapotant dessus et en me caressant. Raphaël signifie « Dieu guérit »…
Mon mari ne supportait pas les pleurs, ni les cris des enfants. Il me battait car je croyais en Dieu, se moquait de moi en imitant des personnes que j’aime. J’étais sous un joug dont je ne savais comment me défaire. Il mentait beaucoup, et le pire c’est qu’il se vantait d’être manipulateur et d’en tirer du plaisir, se sentant très fort ainsi.
Raphaël était un enfant déjà très avancé en intelligence. Il lui arrivait même parfois, sans aucune raison, de dire en levant les mains au ciel « ma maman est belle, ma maman est belle ! », pendant une dizaine de minutes. C’était comme une onde rafraîchissante. Il voyait les coups que son père me donnait et, pour faire diversion, il pleurait ce qui faisait paniquer son père lequel le prenait alors contre lui en disant que mes cris lui faisaient peur. Il essayait de monter mon fils contre moi, mais il perdait aussi patience envers Raphaël et il lui a, un jour, quand Raphaël avait deux ans, lancé un tas de pièces au visage. L’enfant avait le visage rouge des traces de coupure et très en colère, j’ai dit à mon mari qu’il n’était pas un père. Par chance, il ne m’a pas frappée. J’ai soignée le petit mais sans pouvoir obtenir d’attestation, car j’étais comme séquestrée et à cette époque, je n’avais plus le téléphone.
Un jour Raphaël est venu et m’a dit « tu sais, maman, un jour, je le tuerai papa ! ». Ca m’a fait comme un coup dans mon coeur car le petit avait deux ans quand il a dit ça et il avait compris bien des choses sur la mort et sur la réalité.
Raphaël lisait quelques lettres de l’alphabet à deux ans, marchait dès 11 mois et était intelligent malgré le fait que son père lui secouait la tête. Il avait aussi, quand il était plus âgé, un humour qui révélait une certaine maturité. Il pouvait parler avec des adultes et leur couper l’herbe sous les pieds avec ses blagues. Un jour, une dame lui a demandé s’il avait une chérie pour le taquiner et il lui a répondu que oui en disant que c’était moi.
Je me souviens de la fois où Raphaël m’a raconté l’histoire de Samson que sa grand-mère paternelle lui avait narrée. Elle était chrétienne mais, avant cela, elle avait pratiqué des rituels magiques sur son fils ce qui peut expliquer des choses.
Mon fils aîné aime bien Jésus. On parlait du Fils de Dieu ensemble parfois et cela le rassurait, car il disait avoir vu chez son père, après notre séparation, des personnes méchantes sous son lit. Donc, souvent, avant de le coucher, je lui racontais que Jésus venait l’embrasser dès q’il s’endormirait, lui chantais des chansonnettes, et je restais parfois longtemps à côté de lui à cause de sa peur panique.
Un jour où son père est venu le voir, il n’a plus retrouvé ses clés au moment de partir. Il a attrapé Raphaël par le col et le garçonnet est devenu tout pâle. Finalement, nous avons retrouvé les clés… Mon ex-mari avec qui j’avais la garde alternée après notre séparation et l’ordonnance de non conciliation s’est enfuit, au bout de 4 mois, avec les enfants en Suisse où nous vivions avant la séparation. L’affaire était remontée au Garde des Sceaux ce qui n’a pas empêché mon ex-mai de bafouer un jugement. Et le juge suisse me disait qu’il se déchargeait de cette affaire.
Lors de notre procédure de divorce, mon mari a sali la réputation de ma famille. Après une enquête, mon mari a failli perdre la garde des enfants qui auraient du être placés en foyer. Comme je n’ai pas la nationalité suisse, le juge ne voulait pas que j’obtienne leur garde de mes enfants.
Mon avocate ne semblait pas sérieuse avec mon affaire, et a même perdu mes documents. Je n’ai plus de procédure judiciaire en cours concernant le divorce et mes enfants sont suivis par un curateur pour maintenir les liens entre eux et moi. Cette personne lit le courrier que je leur adresse, leur transmet mes cadeaux, me dit comment se déroule leur scolarité et quand ils vont chez le psychologue. Elle nous sert d’agent de liaison.
J’ai envoyé un courrier au Président de la République par l’intermédiaire d’un sénateur ami de mon père. Il y a eu une enquête mais depuis je n’ai pas reçu de nouvelles. J’ai aussi été condamnée en correctionnelle pour non présentation d’enfant (je n’avais pas présenté ma fille à cause de la dangerosité de son père). Ce juge ma dit quelque chose qui n’avait rien avoir avec la plainte de non représentation : « votre père aurait mieux fait de se mêler de ce qui le regarde » alors que c’était la première fois que je voyais ce juge femme. Pour mon avocat, ce que je disais était juste mais le juge refuait d’en tenir compte.
Nicolas, mon deuxième fils, a toujours gardé en mémoire l’histoire d’Isaac (mes enfants retiennent davantage les histoires de la Bible que celles de l’école). Il a souffert de m’avoir été enlevé alors que je l’allaitais encore. Le juge avait décidé qu il vivrait chez son père avec Raphaël. J’étais alors enceinte d’Emilie, et Nicolas n’avait que 7 mois et le sein était son calmant du soir. Après ce sevrage brutal, il a commencé à souffrir de problèmes digestifs, de coliques ; il se retenait d’aller à la selle car quand il y allait, cela le faisait hurler de douleur.
Malgré les produits, son problème ne se résolvait pas, car il était de source psychologique. Il n’a commencé à parler qu’à 3 ans. C’est sa sœur qui avait un an et demi qui l’a stimulé en parlant devant lui. Il avait, ensuite, du mal à prononcer des mots simples comme « oui » ou « ouais ». Nous avons prié et le problème a été défait en 15 jours. La première fois que je l’ai revu, ses yeux se sont révulsés après ma visite, selon ce que m’a dit son éducateur. I aurait été comme en transe. Il paraît que c’était le choc de m’avoir revu. C’est le préféré de son père qui le dit devant les autres.
Je n’ai pu garder Emilie avec moi que jusqu’à ce qu’elle ait 3 ans. Son père me séquestrait et quand j’ai su que je l’attendais, je l’ai quitté. C’est là que j’ai entamé une action en divorce bien que j’espérais encore un changement de mon mari. Ce dernier a alors demandé un test de paternité, affirmant que ce n’était pas son enfant. Et malgré le fait que la paternité était prouvée, il a refusé de reconnaître notre fille avant ses 3 ans. Après qu’il l’a reconnue, le juge qui m’avait déjà retiré mes 2 premiers enfants, a fait de même avec ma fille puisque je ne me rendais plus aux convocations en signe de protestation contre le fait qu’il perdait mes papiers, contre le classement sans suite des plaintes, etc. Les policiers venu récupérer ma fille m’ont insultée, car je refusais de leur ouvrir. J’ai appeler la gendarmerie que je connaissais mieux pour confier ma fille, et les gendarmes ont remonté les bretelles aux policier très hautains. Ces militaires, qui étaient des enfants de divorcés, ont expliqué paisiblement à Emilie ce qui allait se passer, comme une sentinelle d’amour pour elle.
Depuis ce jour, au lieu de me considérer comme la honte du bloc, je bénéficie de l’amitié de mes voisins qui ont commencé à me saluer et me parler. Cela me fait du bien d’avoir des contacts et de sortir, car j’ai souffert d’agoraphobie durant 6 mois après avoir été séquestrée. J’en ai été guérie en lisant des psaumes et après la prière avec mon pasteur. J’ai aussi été délivrée de la peur de la mort et je suis devenue dynamique. Dieu me donne la force d’aller de l’avant en dépit de l’absence de mes enfants, en attendant de les retrouver.
Il y a maintenant un an que je n’ai pas revu mes 3 enfants et leur demi-sœur, Nora, âgée de 2 ans et qui vit avec moi, n’a vu que des photos d’eux. Je leur ai aussi fait parvenir des photos d’elle. Je place ma confiance en Dieu et je suis heureuse de la famille qu’il me donne en son Nom.
Lessia (Nora)
{ 11 commentaires… lisez-les ci-dessous ou ajoutez-en un }
J’étais à la recherche de la rubrique intercession et de demande de prière quand je suis tombée sur le témoignage de Nora . Nora, avec qui j’avais eu l’occasion d’échanger quelques mots sur un sujet concernant l’éducation des enfants . (j’étais loin d’imaginer à ce moment là son parcours ). Je continuais de prier pour elle malgré tout comme « promis » sans savoir .
Ne l’oubliez pas dans vos prières !
(cela dit , je n’ai toujours pas trouvé la rubrique des personnes qui demandent la prière ?) .
Il faut peut être que je cherche plus en arrière .
pour ceux qui voulais m ecrir il le peuvent mon email est j ai pas retrouver ce message et c est seulement maintenant que je relis
Nora (lessia) votre témoignage est bouleversant, Je prie Dieu de toute mes forces qu’Il vous permette de retrouver vos enfants, ils ont besoin de leur maman, les circonstances dans lesquels ils ont vécu puis été enlevés sont insoutenable pour des petits anges .. je ne comprends pas que la loi, les juges, les magistrats et votre avocat n’aient pas su défendre vos droits et protéger vos enfants .. tout cela est effrayant. Courage Nora, Dieu est Amour il vous rendra vos enfants !
Amour , Paix et Lumière.
courage nora, nous sommes avec toi !!
Nicolas ><>
si je n en parle pas exactement et que je suis arriver a en etre dans cette situation la c est que la justice ne ma pas defendu
et que personne au niveau des femmes … m ont aider
j ai pu compter sur personne a part sur le seigneur jesus , j ai ete un peu persecuter car je suis la personne qui a choisi son chemin
j ai eu tres peur d un coup !!
mais ce qui est important c est de prier pour nos enfants ,le diable les cherchent
beaucoup d enlevement sont tenter encore non loin de chez moi a besancon
si vous prier pour moi alors n oubliez pas ces enfants qui sont enlever comme madeleine mccann et priez pour que le mal recul face a ces enlevements ,mon cas n est pas le seul , merci de me soutenir dans la priere ,de me porter dans vos prieres car moi aussi je pense a ceux qui n ont plus leurs enfants , aux injustices ,
aux enfants perdus ,
prier pour ce combat contre le mal.prier pour nos enfants et ceux des autres .
nos enfants sont l avenir, ce sont des futurs adultes qui ont besoin de la grace
qui ont besoin de connaitre jesus christ et qui combattrons eux aussi pour la victoire de notre roi
c est le debut d un combat et n oubliez pas , nous sommes victorieux a l avance
lessia
Nora, Peut-on vous écrire ?
Envoyez-moi un mail à svp.
ton témoignage ressemble un peu au mien mais moi j ai obtenue la garde de ma fille mais j ai du me battre et encore ce n est pas terminé .
je suis maintenant remariée et tout va bien
je prie pour toi et si justice n est pas faite dans ce monde si elle le sera un jour je vais aussi prié pour tes enfants pour leurs protections et leur retour
Dieu ne vous abondonnera pas , ça c est certain pourtant,
il vous laisse cette écharde dans la chair
dans un but précis
j ai aussi depuis mon enfance une echarde qui est comme une pieuvre qui s acroche a l intérieur de moi, mais par contre nous avons 4 magnifiques et braves enfants et
3 petits enfants.
Et nous avons le bonheur de vivre en harmonie,
avec nos familles.
J en remercie notre Pere Célèste.
Nous intercedons aupres de LUI pour qu il vous soutienne dans votre épreuve tres douloureuse,
et vous donne la possibilité de savoir
pourquoi Il vous laisse subir la séparation
d avec vos enfants,
puis, qu il vous donne finalement, la joie immense de retrouver une vie de famille,
toutes et tous ENSEMBLE réunis.
Souvenez vous de Daniel
l ange lui avait précisé qu il y avait une lutte,
contre l ennemi, dans les lieux célèstes , pour qu enfin,
le message de la révèlation de la volonté de Dieu,
puisse arriver jusqu a lui.
Bien en pensée avec vous, et que Dieu vous soutienne vous et vos enfants
Pauvres enfants…
C’est dramatique d’avoir eu des enfants dans ces circonstances de violence extrème : il y a des lois dans notre pays qui permettent quand même à une femme d’être protégée – il aurait fallu porter plainte avant – bien avant -
Dieu est aussi avec les lois qui protègent…
Il faut parfois aussi beaucoup de courage pour vivre la vie sur terre d’une manière "digne" car cela nécessite une remise en cause de soi et des actions pratiques dynamiques avec la loi.
Lessia, je vous souhaite ce courage car ne perdez pas de vue qu’il y a aussi une justice des hommes prévue dans notre pays et même en Suisse mais il faut se "battre".
Fraternellement.
Ma chère Dame, il n’y a pas de mots pour partager vos douleurs…
Que de misère et de pleurs…
Que Dieu vous donne le courage et la force d’aller jusqu’au bout…
Votre témoignage est une victoire que vous nous partagez. Certainements nos prières seront en votre faveur, mais que le tout puissant renouvelle vos forces…
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