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C’est parce qu’il n’est pas toujours facile pour une femme chrétienne de trouver l’équilibre entre, d’une part les contraintes et les pressions de la vie professionnelle, sociale et familiale et d’autre part la nécessité d’une vie spirituelle apaisée, que je vous livre ces quelques lignes, afin de vous encourager.
Travail et emploi des femmes.
C’est un sujet que j’ai déjà traité quand je vous ai parlé de la femme vertueuse, dans la Parole de Dieu.
Le cœur de son mari a confiance en elle, Elle lui fait du bien, et non du mal, tous les jours de sa vie. Elle travaille d’une main joyeuse … Proverbes 31:10-31.
Lydie marchande de pourpre, de la ville de Thyatire, était une femme craignant Dieu, et elle écoutait. Le Seigneur lui ouvrit le cœur, pour qu’elle fût attentive à ce que disait Paul.
Lydie gérait une entreprise commerciale florissante. Elle s’était probablement enrichie, puisque l’Ecriture rapporte qu’elle avait sa propre maison, ainsi que des serviteurs.
Cette situation, exceptionnelle pour une femme, lui donna l’occasion de voyager, de connaitre le Christ et d’offrir l’hospitalité à Paul et ses compagnons au titre de ministres de l’Évangile, lorsqu’elle fut baptisée. Actes 16:14-15.
Elle fut la première convertie de Paul en Europe et la première de l’église de Philippes, une communauté qui deviendra plus tard une source de consolation pour l’apôtre, lorsqu’il se trouva en prison et dans le besoin.
C’est une femme qui travaillait beaucoup, tenant sa maison, conciliant à la fois sa vie professionnelle, familiale et chrétienne. Elle est l’exemple d’une personne équilibrée et consacrée au service de Dieu.
La recherche d’un emploi
Nous vivons une époque où les femmes sont obligées de travailler. Parfois dans des postes difficiles, pas toujours honorables pour une femme.
Je prends l’exemple d’une personne sans diplôme, qui va s’inscrire au chômage, et chercher un emploi!
Elle s’enrôle dans cette armée des CDD, qui constitue aujourd’hui une nouvelle classe ouvrière. Elle fait la tournée des agences d’intérim où, quand on ne l’éconduit pas d’un: «Vous êtes plutôt dans la galère, madame». Pas sympa et plutôt décourageant, on ne lui laisse pas beaucoup d’espoir, jusqu’au jour une conseillère lui assure que dans son cas la meilleure solution c’est de s’orienter vers la spécialité d’agent de nettoyage euh!!! pas très!!! Enfin, au bout d’un mois, on lui propose une heure par jour, viendront s’ajouter d’autres petits boulots. Au total, elle ne gagnera jamais plus de 700 euros par mois, ce n’est pas avec si peu qu’elle pourra faire des folies!
Parlons-en des petits boulots! Les petites annonces, par exemple, proposent le nettoyage extérieur d’un magasin de luxe, trottoirs et vitres, le sale boulot quoi!
Une autre annonce dans une collectivité: le travail sera polyvalent, c’est-à-dire, chargée du service à l’assiette, de la plonge, du ménage des communs, du ménage des chambres, pas drôle, mais…
Horaire découpé (9h-14h30 et 19h30-22heures), travail les jours fériés et week-end par roulement, pas de possibilité de logement… contrat à durée de deux mois, EXPERIENCE exigée de service en salle, avantage en nature… pas reluisant tout ça, mais…
Une entreprise cherche une manutentionnaire, quand on n’a vraiment un besoin financier on ne rechigne pas). Vous serez chargée de diverses tâches de manutention, tonte des pelouses, entretien et petites réparations, livraisons de marchandises. Votre contrat sera de cinq mois. Pas très long, mais c’est toujours ça.
« Tournée événementielle d’envergure nationale. Urgent ». Où là! c’est peut-être intéressant.
En fait, la tournée événementielle consiste à distribuer des échantillons de déodorant dans les rues piétonnes en centre ville le samedi après-midi. (Travail) réservé aux jeunes ayant une bonne présentation, sinon mauvais point pour la marque.
Pas facile de trouver du travail, qualification ou pas, quelles que soient les entreprises actuellement c’est le rendement qui compte, du harcèlement moral, produire – produire, au détriment de la personne, nous le voyons tous les jours aux infos et, malheureusement, ça va parfois jusqu’au suicide.
Si nous sommes enfants de Dieu, c’est le moment de prier avec le psalmiste:
Du fond de l’abîme, je t’invoque ô Eternel! Seigneur écoute ma voix! Que tes oreilles soient attentives à la voix de mes supplications! Psaume 130:1-2.
Il est bon alors de se souvenir de la promesse de Dieu:
Ceux qui se confient en l’Eternel sont comme la montagne de Sion; elle ne chancelle point Elle est affermie pour toujours. Psaume 125. 1
Il donne de la force à celui qui est fatigué, et il augmente la vigueur de celui qui tombe en défaillance.
Les adolescents se fatiguent et se lassent, et les jeunes hommes chancellent; mais ceux qui se confient en l’Eternel renouvellent leur force. Ils prennent le vol comme les aigles; ils courent, et ne se lassent point, ils marchent, et ne se fatiguent point. Esaïe 40:29-31
Une journée de travail pour une maman
Comment se passe une journée de travail pour une maman avec des enfants en bas âge ?
C’est speed !
Faire lever les petits, déjeuner, toilette souvent la douche prise la veille, habiller et vite les déposer à l’école, puis courir prendre le tram ou le métro ou autre moyen de transport, enfin arrivée au bureau, partie de la maison déjà depuis une heure et plus. Les dossiers en piles qu’il faut éplucher, contacter le client et essayer de lui vendre des produits, sans oublier le chef qui booste, produire!! Pour celles qui travaillent à l’usine, c’est la chaine, le bruit, la production intensive. Parlons aussi des vendeuses, caissières, ou agents de surface, dans les hyper ou galeries marchandes, c’est également fatiguant, les rayons à remplir et veiller que rien ne manque, la caissière doit être toujours aimable avec le client, car les responsables ne sont pas loin et prêts à faire des remontrances, (dans certains magasins il y a même des caméras de surveillance).
La standardiste, toute la journée à répondre au téléphone, le casque sur les oreilles, ouf! L’heure arrivée de stopper jusqu’au lendemain évidemment rebelote, etc…
Journées harassantes, stressantes, usantes physiquement mais aussi psychiquement!
Le soir, rebelote le trajet, les enfants à récupérer à la garderie et rentrer chez soi pour une seconde demie journée qui s’annonce et ça répété 5j par semaine, parfois le samedi matin en plus. Et le salaire à la fin du mois pas extra, surtout en province.
A-t-elle le courage, la force, la patience de consacrer un peu de temps le soir à ses enfants et à son mari? Cependant, c’est indispensable les moments en famille où l’on sent un peu de chaleur et d’amour des siens. Cela met un peu de baume sur le cœur.
Les enfants de Dieu peuvent se réfugier dans la prière et lecture de la Bible, qui apaisent l’âme après une journée éprouvante.
Lorsque nous avons la Parole de Dieu dans notre cœur, nous pouvons dire comme David:
L’Éternel est ma lumière et mon salut: de qui aurais-je crainte?
L’Éternel est le soutien de ma vie; de qui aurais-je peur? Psaume 27:1
Nous pouvons dire à l’Éternel que nous l’aimons et que sans Lui nous sommes bien faibles.
Je t’aime, ô Éternel, ma force!
Éternel, mon rocher, ma forteresse, mon libérateur!
Mon Dieu, mon rocher, où je trouve un abri!
Mon bouclier, la force qui me sauve, ma haute retraite!
Je m’écrie: loué soit l’Eternel! Et je suis délivré de mes ennemis. Psaume 18: 2-4
La guerre CDI-CDD.
La guerre CDI-CDD article paru dans un magasine, en février 2010.
« Dans l’univers français des contrats de travail, rien n’a changé, mais tout est différent
En apparence, la répartition du stock donne une impression de stabilité depuis 2000; les CDI se maintiennent au-dessus de 80%, contre 12% environ de contrats précaires, CDD, intérims, stagiaires, contrats aidés, apprentis (source Insee). C’est le flux, en revanche, qui est devenu impressionnant sur la même période. Relevé par un économiste à l’OFCE.
En 2000, les CDD représentaient 71% des intentions d’embauche, dont 39% pour des contrats de moins d’un mois.
En 2009, les CDD ont grimpé à 85% des intentions d’embauche.
Quant aux CDD de moins d’un mois, le chiffre a spectaculairement bondi à 63% (source Acoss).
La dualisation du marché de l’emploi s’accentue ainsi de plus en plus entre une majoritée de CDI bien protégés en termes de droits, et dont les prestations sont largement relayées, et une minorité silencieuse de CDD de plus en plus précarisée.
« Nous sommes dans une période difficile pour l’emploi toutes branches confondues, et nous ne voyons pas le bout du tunnel. »
Les femmes exclues
Trois chiffres déterminent aujourd’hui le sexe de la pauvreté laborieuse en France: 80% des temps partiels sont des femmes, 80% des salariés gagnant moins que le Smic sont des femmes, 80% des smicards sont des femmes. Contrairement à d’autres pays européens, l’histoire du travail féminin en France ne s’est pourtant pas construite autour du temps partiel; c’est à temps plein que les femmes ont afflué sur le marché de l’emploi salarié dans les années 1960. Le travail à temps partiel n’a fait irruption qu’au début des années 1980, à la faveur de la crise et sous l’incitation de politiques publiques (de droite, comme de gauche). Le travail à temps partiel a fini par s’installer jusqu’à devenir un mode de gestion des entreprises, même quand ces aides ont été supprimées dans les années 2000. »En théorie, l’égalité est inscrite partout, mais on se retrouve avoir reconstruit de toutes pièces une forme d’inégalité; aujourd’hui, ce sont massivement les femmes qui travaillent moins pour gagner moins », selon les recherches du CNRS.
Je ne fais pas de politique, je suis à la retraite, mais étant en contact avec des femmes qui me parlent de leur vie de travail, de la maison des enfants, du mari… je sais que concilier le tout n’est pas toujours évident, et de plus en plus la lassitude s’installe, le découragement.
Nous devons beaucoup prier car nous vivons des temps difficiles, demander la protection de Dieu pour nos bien-aimés.
La femme chrétienne.
La femme chrétienne sur son lieu de travail est confrontée à un milieu hostile et pourtant elle a un témoignage à y rendre, premièrement par son comportement à l’égard de ses supérieurs et de ses collègues. Etre positive et garder sa paix en toute circonstance, veiller sur son langage, avoir des conversations correctes et être vêtue avec décence.
Il lui faudra aussi être attentive aux occasions de témoigner de ce que Le Seigneur a fait dans sa vie, sans avoir « honte » de parler de LUI.
Ses collègues verront alors, par son comportement et sa foi, qu’elle est différente des autres.
J’ai connu une sœur qui ouvrait la bouche à chaque occasion, si bien que l’on se moquait, mais elle continuait, car c’était pour la bonne cause et malgré les problèmes dans son entreprise, menace de licenciement, elle gardait toujours le sourire, elle était toujours disposée pour dialoguer avec ses collègues. Par son attitude elle montrait sa différence et certaines voulaient connaitre le pourquoi!
Il y a aussi le voisinage où il arrive parfois, hélas! que des disputes éclatent pour diverses raisons: les enfants qui font du bruit dans l’appartement, des adultes sans gêne, une clôture, un arbre dont les branches dépassent un peu sur la propriété du voisin, les chiens qui aboient et ça, il est vrai, que c’est énervant.
Nous avons habité une maison mitoyenne, en fait c’était quatre maisons mitoyennes, très sonores, nous entendions la chienne aboyer toute la journée car ses maîtres étaient au travail. Qu’elle horreur! Et que faire, leur dire, et alors? Ils ne l’entendent pas puisqu’ils ne sont pas là, il fallait supporter. On entendait également le voisin rire à plein poumon, nous en riions sans en savoir le pourquoi! Sauf si la fête durait tard dans la nuit!
Il y a aussi la question des enfants qui jouent dans le jardin ou dans la rue au ballon, ça crie, ça court, et ça fait du bruit, et souvent le ballon va dans le jardin d’à côté, pas toujours sympa le voisin…
Des sujets de voisinage, il y en a, et souvent graves jusqu’à aller à la gendarmerie et plus loin…
Alors, lorsque l’on est chrétienne, nous évitons les querelles, et nous remettons la situation dans les mains de notre Père Céleste afin qu’il nous donne de la sagesse en toute circonstance.
La femme chrétienne dans son foyer.
Il y a différents cas de figures: celle qui est mère au foyer et celle qui exerce une profession à l’extérieur.
La femme qui reste chez elle avec des bébés ou jeunes enfants, travaille toute la journée jusqu’au coucher: il faut bien organiser son temps, du temps pour ses enfants, du temps pour son mari, du temps pour préparer le repas, du temps pour le ménage, repassage, etc. Et du temps pour Dieu, lire sa Parole, réfléchir à ses voies et prier. D’ailleurs, il serait souhaitable de commencer par présenter sa journée à Dieu.
Psaume de louange 100: Poussez vers l’Eternel des cris de joie, vous tous, habitants de la terre!
Servez l’Eternel avec joie, venez avec allégresse en sa présence!
Sachez que l’Eternel est Dieu!
C’est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons; nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage. Entrez dans ses portes avec des louanges, dans ses parvis avec des cantiques!
Célébrez-le; bénissez son nom!
Car l’Eternel est bon; sa bonté dure à toujours
Et sa fidélité de génération en génération.
La femme qui travaille à l’extérieur rentre le soir fatiguée et elle aspire à un moment de calme, de détente. Mais elle est vite happée par les enfants auxquels elle a aussi envie de donner de la tendresse, de l’écoute. Dialoguer avec son petit monde lui fait du bien, l’aide aux devoirs pour les petits et pour les plus grands, s’assurer que les devoirs sont bien faits.
Un moment de partage et de confidence avec le mari, quand il y en a un, est une occasion de réconfort, un échange de tendresse en se retrouvant tous les deux. C’est une chose importante, à ne surtout pas négliger.
Mais le principal réconfort se trouve surtout dans la présence de Dieu, soit en tête à tête avec Lui et, si c’est possible, prier et lire la Bible en famille.
La femme sage, équilibrée, s’efforcera de faire du week-end un temps à part consacré aux siens, sorties, ballades…
Lorsque l’on appartient au Seigneur Jésus-Christ, le culte du dimanche permet de partager un moment avec les frères et sœurs, ce sont des instants privilégiés et réconfortants, qui nous changent tellement de l’ambiance du monde.
Cantique des degrés. De David. Voici, oh! qu’il est agréable, qu’il est doux pour des frères (et des sœurs) de demeurer ensemble!
C’est comme l’huile précieuse qui, répandue sur la tête, descend sur la barbe, sur la barbe d’Aaron, qui descend sur le bord de ses vêtements.
C’est comme la rosée de l’Hermon, qui descend sur les montagnes de Sion; car c’est là que l’Eternel envoie la bénédiction, la vie, pour l’éternité. Psaume 133
Enfin, pour conclure, je crois que dans toutes les circonstances et les situations de sa vie, la femme chrétienne doit pouvoir s’appuyer sur Dieu, comme une fille qui cherche le réconfort auprès de son Père Céleste.
… et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous. 1 Pierre 5:7
Vie de femme chrétienne
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Bonjour,
Je trouve cet article intéressant car reflétant souvent la réalité.
Sans vouloir m’étendre sur l’inépuisable sujet abordé, je voudrais réagir en disant que je trouve les hommes particulièrement hypocrites envers les femmes…
En effet, d’un côté ils empoisonnent la » vie de femme » , d’un autre côté, ils la soulage par des inventions appréciables : machine à laver la vaisselle, machine à laver le linge, machines pour faire le café et le pain, micro-ordinateur pour effectuer les courses, micro-onde pour cuisiner instantanément ou téléphone portable pour importuner sans cesse leurs époux.
Evidemment, si j’avais pu ajouter l’appareil à épiler, le fer à friser ou le coupe-ongles électronique, je préfère m’attarder sur deux reproches que me fait régulièrement mon épouse :
- Techniquement, l’homme n’a pas su éliminer la corvée du repassage du linge.
- Relationnellement, l’homme est souvent pour la femme le principal obstacle à son épanouissement. Peut-être plus encore dans l’Eglise aujourd’hui…?
Comme je n’ai aucun pouvoir sur ces deux problèmes, je m’efforce personnellement d’en atténuer les effets dévastateurs sur mon épouse. Comment ? En m’inspirant du comportement de saint Paul envers les membres de l’Eglise :
- Premièrement, je ne manque jamais de l’encourager à persévérer chaque fois qu’elle repasse mon linge.
- Deuxièmement, en la complimentant et en lui portant beaucoup d’attention dans la considération que j’ai pour elle.
Enfin, je lui offre parfois une rose… Résultat garanti ! je l’assure.
Joseph C.
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Bonjour Joseph,
J’ai fait mieux, mon mari et mon fils, qui a aujourd’hui 22 ans, savent cuisiner, repasser, faire une machine à laver, des courses et même coudre.
A cela deux avantages :
Le premier c’est qu’ils ne dépendent pas de moi pour les actes quotidiens au cas où il m’arriverait quelque chose.
Mon fils qui est aujourd’hui à 700 Km de la maison familiale est très content de savoir faire tout cela, car il est serein loin de « maman » et quand le moral est en berne, il se fait un bon petit plat qui lui rappelle la maison, et il se sent mieux.
Le deuxième, c’est que tous, mes filles mon fils et mon mari, apprécient le temps que je passe à m’occuper d’eux. Ils l’apprécient non pas de la bouche, mais du coeur, car tous connaissent le poids de ce travail, et comprennent l’amour et l’attention qu’il y a derrière.
Mes enfants avaient et ont encore une curieuse habitude, je ne sais pas d’où elle leur est venue, ce n’est pas moi qui la leur ai apprise. Quand ils sortent de table, chacun prend son couvert et m’embrasse en me disant « c’était bon »….
Cela vaut toutes les roses du monde.
Marie Josèphe
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Bonjour Marie Josèphe,
J’ai lu avec intérêt votre stratégie familiale pour améliorer votre
« vie de femme ».
Sachez que je la trouve excellente, que le Seigneur vous bénisse.
Joseph C.
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Je suis très heureuse de lire ce texte et j’en remercie vivement Y. Guyot.
C’est un encouragement pour toutes les femmes chrétiennes qui souvent se demandent si jamais elles pourront arriver à ne pas manquer à leurs taches quotidiennes.
Je suis certaine que le Seigneur connait tout de chacune d’elles et connaissant le fond de leur coeur, Il ne leur demande pas ce qu’elles sont incapables de pouvoir faire. Une femme qui travaille, avec mari et enfant, ne peut pas se consacrer à la prière et l’intercession pour autrui, autant qu’une femme qui est à la retraite et qui peut (qui doit) rester dans cette attitude. Je trouve qu’on en demande (les hommes et les conditons sociales qu’ils ont initiés) trop aux femmes et que Dieu, lui, n’en demande pas tant.
Je ne sais pas si je me fais bien comprendre, mais en tout cas, il faut arrêter de culpabiliser les femmes, elles ont le dos large.
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