Netanyahou au congrès de l’AIPAC : « Jérusalem n’est pas une colonie, Jérusalem est la capitale d’Israël »

19 lectures, par nicolas le 27 mars 2010 · 0 commentaire

dans la rubrique Antisémitisme, négationnisme, Dhimmitude et islamisation de l'Occident, Israël, Signes eschatologiques, Sionisme évangélique

Get PDF Imprimer la page Partager    Diminuer Normal Agrandir    Ajouter un commentaire Commentaires

Vous êtes nouveau ici? Pensez à laisser un commentaire, votre avis nous intéresse !

Guysen News

NDLR: La Bible mentionne 700 fois (!!!) Jérusalem comme la capitale d’Israël et le Coran mentionne une seule fois (!!!), sans la nommer, une ville qui se situe « à l’est ». La primauté Juive sur Jérusalem est évidente, et les habitudes de l’Islam dans la région ont souvent consisté à profaner des lieux historiquement liés au judaïsme pour s’en arroger la propriété. Selon le droit coranique également, une terre qui fut musulmane doit le rester à perpétuité. Il y a 3000 ans pourtant, le roi David fonda la ville de Jérusalem, dont le nom perdure à ce jour…

Qu’il est difficile de construire à Jérusalem ! « Jérusalem n’est pas une colonie, Jérusalem est la capitale d’Israël ». Cette avec solennité par Benyamin Netanyahou au congrès de l’AIPAC la veille de sa rencontre avec le Président américain donnait le ton. Le Premier ministre israélien a souhaité légitimer les décisions prises en matière de construction à l’est de Jérusalem. Il a surtout voulu rappeler que Jérusalem est au centre de la vie juive depuis trois mille ans et au cœur de la vie israélienne depuis 1948. Conquise en 1967, c’est une loi fondamentale israélienne qui en fait la capitale de l’Etat hébreu.

Le classement de Jérusalem comme le troisième lieu saint de l’Islam est assez récent. Employé comme un argument de la propagande antisioniste depuis 1967, il sert aujourd’hui la « communication martyre » palestinienne qui exprime une crainte pour la préservation de leurs lieux saints pourtant construits sur les vestiges juifs les plus précieux. Faire croire qu’une guerre de religions menace, réduire les options politiques de l’actuel gouvernement israélien à une stratégie de judaïsation de Jérusalem. Déduire qu’un gouvernement de droite fermerait volontairement toutes les portes du dialogue pour la paix.

>>> lire la suite


Article précédent: « Particule Dieu » : Le CERN prévoit le 30 mars de recréer le Big Bang

Article suivant: Des chrétiens accusent publiquement Israël de se comporter en « colonisateurs et esclavagistes » envers la population arabe