Tout jeune, j’avais le seigneur dans le coeur, mais avec aucune idée de comment je ne pouvais spirituellement m’exprimer, mis à part les moyens que l’on m’avait inculqués en cours de religion catholique.
Alors, seul face à moi-même, je me suis retrouvé dans une vie qui ne me correspondait pas et toujours avec cette voie qui me parlait dans ma tête, me rappelant le bien du mal.
Lors de ma majorité, je me suis retrouvé entraîné par des amis dans tous genres de divertissements tels que les bars, les discothèques, les filles, les voitures, les soirées, les cigarettes, l’alcool, LA DROGUE…
J’ai fumé des joints plus de douze années, il ne se passait pas une minute sans que je ne pense au prochain joint que j’allai me faire ou lequel de mes fournisseurs j’allais contacter pour me fournir en hachich.
Un soir, j’entends une voix qui me parle et qui me dit ; ce que tu fais n’est pas la personne que tu es, je regarde partout autour de moi, je croyais à une de mes hallucinations, je me suis même dit, la vache !
C’est de la bonne celle là ! En allant me coucher, je sentais une profonde tristesse au fond de mon cœur, comme si je n’avais pas écouté les conseils de mon père. C’est là que je me suis posé la question, est-ce que ce n’était pas Dieu qui m’aurai parlé ?
Je me mis à prier et je lui dis, Seigneur je n’ai pas la certitude que tu existes vraiment, si tu existes vraiment et que tu trouves que je suis quelqu’un d’important pour toi, alors montre toi à moi.
Je m’endormis et dans mon rêve je vois un grand portail fermé avec une lumière blanche et intense qui s’échappait tout autour de la fermeture et devant cette porte il y avait la silhouette d’un homme aux cheveux long en tenue blanche.
Le lendemain soir, sans hésitations je demandai pardon au Seigneur et je lui dis ; seigneur de tout mon cœur je veux te donner ma vie, mais alors, viens-moi en aide, pour que je puisse arrêter la drogue, car il est totalement inconcevable dans ma tête que je puisse être entièrement ton dévoué serviteur avec un tel défaut dans ma vie.
Le lendemain en fin de journée, mes habitudes de drogué ont repris le dessus et je me rends chez un de mes vendeurs, à ma grande surprise il ne comprenait plus rien, ses fournisseurs ne répondaient plus, je me rends chez un autre fournisseur qui me dit qu’il se sentait surveillé par la police et qu’il devait tout arrêter, je cherche à joindre le dernier que je connaissais, il me dit qu’il avait décidé de ne plus vendre de hachich.
À partir de ce moment, je n’avais plus aucune occasion de me fournir en drogue et de fil en aiguille j’ai perdu l’habitude de m’en acheter et de fumer des joints.
Puissant est le Seigneur !
Car je pensai qu’il se serait occupé de moi pour que j’arrête la drogue, mais il a été plus astucieux, il a tous simplement fait en sorte que mes fournisseurs ne puissent plus en avoir, il savait que de ma propre volonté, il m’était psychologiquement impossible de refuser ou d’en acheter.
Grâce à lui, aujourd’hui, je suis sauvé, baptisé, et c’est dans une confiance aveugle que je me soumets à toutes ses volontés.
Frères et sœurs qui êtes en difficultés, ne craigniez pas, demander et faite confiance à Dieu, car il vous sauvera tous comme il l’a fait avec moi.
Prière : Merci Seigneur, pour ton soutien journalier, merci Seigneur, pour la réalisation de mes prières, merci Seigneur, pour le don de vision que tu m’as donné, merci Seigneur.
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priez pour une amie Anna qui est alcoolique ,elle est catholique ,elle aime Jésus ,dans son pays pour être vivant ,joyeux ,il faut boire ,nous avons prié pour elle ,il y a eu une nette amélioration ,mais elle recommence ,elle met en danger son couple
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A ma conversion, je ne fumais plus depuis 3 ans mais de sérieux conflits, avec des gens de mon entourage, me plongèrent dans une terrible dépression. Je me remis à fumer, environ deux paquets par jour. Cela eut pour effet de déclencher bronchites à répétitions. Je toussais jour et nuit, jusqu’à des vomissements, parfois teintés de rouge.
Je tentais vainement de m’arrêter quelques jours, mais hélas, je ne résistais pas bien longtemps. Malgré le goût horrible de la première « clope », je repartais de plus belle: fumant, toussant et crachant, telle une locomotive poussive.
Mon épouse, désespérant de me voir abandonner cette funeste habitude, se morfondait dans son coin.
Un soir, je ne sais comment cela arriva, je me mis aux pieds du Seigneur Jésus et lui fit cette simple prière: » Sans ton intervention agissante, mon cher Seigneur Jésus, jamais je ne parviendrai à cesser de fumer, aide-moi, je t’en supplie! ».
Le lendemain, après avoir pris mon petit déjeuner, je n’eus aucune envie de cette première cigarette matinale que les fumeurs apprécient particulièrement. Cela fait près de 20 ans aujourd’hui, que je suis libéré de cet esclavage…et de ma dépression.
C’est pour avoir connu moi-même une merveilleuse délivrance, par la foi en Jésus-Christ, que je me réjouis de celle qu’a connue Fabrice Serafino, dans un registre autrement plus sérieux et grave que le mien. Gloire à Dieu!
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